#Politico de café
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Un amauterismo suicida para un pais desquiciado
Jorge Fern��ndez Díaz Anibal Fernandez -Archivo Ignacio Camacho es probablemente el analista político más lúcido de España. Me lo presentó hace unos cuantos años en Madrid Arturo Pérez-Reverte, que es uno de sus lectores más consecuentes. Escribe cada día del Señor, de domingo a domingo y desde hace décadas, una influyente columna de opinión en el diario ABC, y hasta los articulistas y…
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LO TRAEN DE COLOMBIA, ETIOPÍA Y AUSTRALIA Y NO PAGAN AL GOBIERNO
Casi todo el café que te tomas en PR no es de PR, es del gobierno de Puerto Rico…Y el gobierno lo trae de México.
Si el gobierno trae café, no paga impuestos, si lo traes tú, lo tienes que pagar o es ilegal. El gobierno lo coge para su bolsillo y lo gasta en lo que le da la gana…
El Departamento de Agricultura encontró dos coffee shops en el área metropolitana con café no rotulado para vender y que no pagó impuestos al entrar al país por correo. O sea, café ilegal en PR.
No es ilegal traerlo de otros países, siempre y cuando se reporte y se paguen los $3.50 por libra de harina de café, que exige la ley.
Agricultura se llevó el café que recogió en esos negocios y advirtió que estarán visitando otros puntos de la isla.
¿Tú prefieres café local o importado? ¿Te importa si lo trajeron por debajo de la … aduana?importa si lo trajeron por debajo de la … aduana?
#puerto rico#despierta puerto rico#corrupt politicians#politicos de mierda#corrupción en puerto rico#corrupción#despierta boricua#politicos corruptos#esto es puerto rico#puertorriqueños#el café en Puerto Rico#noticias importantes sobre puerto rico#noticias de puerto rico#noticias#boricua despierta#boricuas en florida
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« Il faut que Mohamed devienne un prénom français. Si dans quatre siècles les Français ont tous la couleur de mon café, je m’en fous! » : le juif Louis Sarkozy proclamé nouveau leader de la droite.
Comme beaucoup d'indigènes, je m'en fous moins par contre.
Lol
Précédemment : Le juif Louis Sarközy jure ne pas être raciste au motif qu’il est un Magyar comme les autres
Les goyim viennent de recevoir par la TNT un nouveau leader politique.
En démocratie, tout est organique et spontané et le hasard fait très bien les choses.
Politico :
“Pour réussir, il faut tutoyer le ridicule, mais il ne faut jamais tomber dedans.” Louis Sarkozy a 22 ans, en 2019, lorsque son ancien président de père, Nicolas, lui prodigue ce conseil. Alors étudiant en histoire et en philosophie à l’Université de New York, le jeune homme s’apprête à faire le tour des plateaux de télévision et de radio à Paris au côté de sa mère, Cécilia Attias, avec qui il a coécrit un livre intitulé Une envie de désaccord(s) (Plon). A l’époque, celui qu’on avait quitté poupin sur les marches du perron de l’Elysée, et dont on découvre le crâne rasé de près et le physique élancé, assure ne nourrir aucune ambition politique. Mais il se permet déjà, au micro de Léa Salamé, de lancer un audacieux “Mais on s’en reparle en 2035 !”. Sa mère, interrogée avec lui sur France Inter, dit “sentir” qu’il embrassera cette carrière, avant de tenter cette prophétie : “Il sera l’homme politique de demain.”
Peu d’homme ont un tel charisme
Cinq ans plus tard, samedi 14 décembre, Louis Sarkozy, dont la barbe est encore un peu plus fournie — façon gentilhomme du 19e siècle —, sera l’invité d’honneur de la “soirée de Noël” des Jeunes Républicains, organisée chez O’Sullivans, un pub de la place de la Bastille. Il s’y rend à l’invitation de l’ancienne candidate aux législatives Emmanuelle Brisson, fille du sénateur LR Max Brisson, qu’il connaît de longue date et qui s’est chargée de communiquer à grand renfort de tweets et de posts LinkedIn sur l’événement. La réunion publique est annoncée comme rien de moins qu’un “acte de rupture avec un système figé, une invitation à penser différemment”. Bigre. Depuis sa tournée promotionnelle de 2019, le jeune homme a connu quelques “errements” entre les deux côtés de l’Atlantique, selon le mot d’un membre de la famille. Mais il est rentré en France pour de bon, après une quinzaine d’années passées aux Etats-Unis, où il est arrivé à l’âge de 10 ans, dans les remous du divorce ultra-médiatisé de ses parents et de l’accession de son père à l’Elysée. Et il semble cette fois décidé à investir la scène médiatico-politique française. Il songe même désormais à trouver un atterrissage électoral, bien qu’il n’en fasse pas la publicité, a appris POLITICO. Ainsi le voit-on régulièrement commenter l’actualité américaine sur LCI, depuis qu’il y a fait une première apparition en avril, invité par Darius Rochebin, l’un des présentateurs vedettes de la chaîne, avec qui il est entré en contact à la faveur de leur fascination commune pour Chateaubriand (Louis Sarkozy récite des passages des Mémoires d’outre-tombe à volonté).
L’Iranien de Suisse n’invite Sarkozy que pour une seule raison : son intelligence.
Sa présence à la télévision fait grincer des dents la communauté des universitaires experts du sujet, où l’on questionne volontiers la légitimité de celui qui a Martin Bouygues, actionnaire principal du groupe TF1, pour parrain de baptême.
Louis Sarkozy est littéralement un marane.
Pas de quoi le faire douter : “J’en ai rien à foutre”, balance le “fils de” en privé, à l’évidence chiffonné par ces critiques. Il n’aurait d’ailleurs, rapportent ses proches, “renoué” avec le grand patron qu’après sa première intervention sur la chaîne info ; les relations entre Martin Bouygues et Nicolas Sarkozy s’étant largement distendues depuis 2007. N’empêche : quand il défraye la chronique en balançant en direct, le 29 septembre, à propos des attaques d’Israël contre le Hamas et le Hezbollah, “qu’ils crèvent tous ! Israël fait le travail de l’humanité ici”, il passe un coup de téléphone à son parrain dans la foulée pour s’excuser. Non pas qu’il regrette son propos, non, aucunement. Mais plutôt parce qu’il veut s’assurer que Martin Bouygues sait qu’il n’a pas voulu nuire à l’image de la chaîne. Il faut croire que ses passages ont leur petit succès : il a signé un contrat d’exclusivité avec LCI au mois de septembre, a appris POLITICO.
Il suffit de soutenir Tel Aviv sur un ton génocidaire et la Mer rouge médiatique s’ouvre devant soi.
C’est un véritable miracle.
Après la réélection de Donald Trump, début novembre, il assume sans complexe à l’antenne son admiration pour le stratège politique qu’est le président élu américain. Une chose l’a particulièrement épaté : le candidat Républicain est arrivé en tête des votes chez les Latino-Américains, notamment, alors que les Démocrates pensaient naturellement les minorités acquises à leur cause. C’est, pour le jeune homme, la preuve que Trump a su parler “de l’Amérique aux Américains”, comme le dit aussi Nicolas Sarkozy.
Si seulement les immigrés pouvaient voter pour un politicien pro-israélien, tout irait bien.
Et il n’hésite pas à en tirer des leçons pour la droite française : “Si Donald Trump parvient à séduire des électeurs latinos, noirs et féminins, nous devrions aussi courtiser nos concitoyens issus de l’immigration (…). Le vote musulman, en particulier, offre une opportunité, car cette population est souvent plus conservatrice et en désaccord avec le wokisme sexuel de la gauche”, écrit-il un peu plus tard sur un site d’info belge qui vient d’en faire son chroniqueur vedette.
Il est indéniablement le fils de son juif de père, marchand de tapis dénué de toute espèce de scrupules.
Ceci dit, les musulmans votent pour la CAF et ne soutiendront jamais un hébreu qui appelle ouvertement au nettoyage ethnique en Palestine.
Ce génie politique a déjà grillé cette cartouche-là.
Ce sont ces écrits qui attirent l’attention d’un conseiller du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et lui vaudront une invitation Place Beauvau. Cela tombe bien, Louis Sarkozy tâche de se faire un prénom dans le milieu politique, et il admire la “religion de l’action” du Vendéen.
Quelqu’un sait si le « Vendéen » a viré un bougnoule en trois mois ?
Le 20 novembre, il le rencontre ainsi que des membres de son cabinet. Le ministre lui offre pour l’occasion une visite des appartements privés du ministère, où il a vécu petit et dont il garde un souvenir ému. Retailleau était pourtant loin d’être un proche de son père, les deux hommes ayant des tempéraments diamétralement opposés. Mais l’arrivée du premier Place Beauvau les a rapprochés, et le fils de l’ancien président, qui encourage l’ancien premier lieutenant de François Fillon à prendre la tête des Républicains lorsque viendra le temps du congrès du parti, joue désormais les agents traitants entre les deux. Le jeune homme, qui n’a pas de mots assez durs quand il parle du président du Rassemblement national, Jordan Bardella, et qui moque volontiers la ringardise d’Eric Zemmour quand celui-ci part en croisade contre les prénoms pas assez français à son goût, croit dur comme fer que seule la politique du résultat prônée par Retailleau en matière migratoire pourra permettre le retour de la droite au pouvoir. Il s’ébaubit d’ailleurs de la cote d’avenir du ministre, qui a grimpé en flèche en quelques semaines depuis sa nomination. Et s’il assume lui-même une ligne dure sur le sujet, il est aussi coutumier de saillies plus inattendues qui ne sont pas sans rappeler le goût de la provocation de son père : “Il faut que Mohamed devienne un prénom français. Si dans quatre siècles les Français ont tous la couleur de mon café, je m’en fous. S’ils boivent du vin et payent leurs impôts, on aura réussi”, l’a-t-on par exemple entendu dire.
Qui est « on » ?
L’avantage, c’est que l’on peut lire à travers cet immigré juif comme dans un livre ouvert tant il est idiot.
Tout, chez lui, à part son mètre 90, ses pommettes hautes et ses tatouages aux biceps, rappelle son père, jusqu’à ses mouvements d’épaule. Même s’il “a grandi beaucoup sans lui. Il a une autre géographie”, comme le pointe l’un de ses interlocuteurs récents. Parmi les ténors des Républicains, Retailleau n’est pas le seul à avoir les faveurs de Louis Sarkozy. Il vante volontiers les mérites du Cannois libéral David Lisnard ou de l’eurodéputé François-Xavier Bellamy. Mais il ne néglige pas la Macronie : le ministre des Armées Sébastien Lecornu, un ancien des Républicains ayant rejoint Renaissance dès 2017, a aussi reçu l’ancien élève d’une école militaire américaine à son ministère. Non pas qu’il mise beaucoup sur l’avenir du macronisme, non : “[Eric] Ciotti n’a rien compris. On investit dans une boîte quand le truc s’effondre”, sourit-il en privé.
Le jeune Sarkozy s’applique également à tisser sa toile auprès de l’intelligentsia conservatrice parisienne. Sa toute première tribune, il la doit au Figaro et au rédacteur en chef du service débats du quotidien, le trentenaire souverainiste Alexandre Devecchio. Il adore aussi l’humour, “la gueule et la répartie” du médiatique avocat Charles Consigny, et loue le talent de l’essayiste Eugénie Bastié — “une machine”, dit-il.
Le conservatisme levantin du Figaro, tout ce que l’on aime.
Le livre qu’il a consacré aux lectures de Napoléon, pour lequel il se passionne, sera publié dans sa version française en avril chez Passés Composés, la maison d’édition d’Arthur Chevallier, lui-même auteur et spécialiste de l’empereur, commentateur de l’actualité squattant le plateau de C Ce Soir, sur France 5. Précédemment, le jeune homme officiait aux éditions du Cerf, dirigées par l’historien spécialiste des religions Jean-François Colosimo dont la fille est Anastasia, en charge de la communication internationale d’Emmanuel Macron. Elle a travaillé auparavant auprès du beau-père de Louis Sarkozy, l’homme d’affaires Richard Attias, à New York. C’est elle qui lui a présenté Chevallier.
Attias est accidentellement juif
Quand la jeune femme a fait l’objet, il y a dix jours, d’une enquête assassine du Nouvel Obs sur ses méthodes brutales et son langage parfois ordurier, Louis Sarkozy n’en a ressenti que plus d’affection pour elle, s’esclaffant à propos de la “myopie presse de gauche qui veut la détruire et qui en fait une icône”. Ceux qui le connaissent le devinent : à cette scène médiatique et intellectuelle conservatrice vivace, il faudrait, songe-t-il, trouver un jour un débouché politique. Mais surtout, un chef.
Le forcing médiatique est massif depuis quelques jours.
Les goyim découvrent l’extraordinaire télépathie de la presse indépendante en démocratie.
Reste qu’il est con, désespérément, comme une table. Bien plus con que Bardella.
C’est l’incarnation du demi habile.
D’ailleurs, ce trafiquant du Sentier en a la tête.
Le gaffeur juif éternel.
La seule raison qui fait de cet histrion juif un choix du cartel médiatique est sa défense fanatique de la théocratie juive de Palestine.
Rien d’autre.
L’argent juif a décidé de s’en servir, visiblement à court d’agents crédibles.
Démocratie Participative
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Que casualidad recordé antes de ayer que las últimas víctimas de ETA fueron en MALLORCA y que tienes que tener FORTUNA [=YATE de CASA REAL en MALLORCA] en este maldito país hasta para no encontrarte a unos etarras tomando un café como los Guardia civiles que mataron en Francia aunque más me preocupa los accidentes o enfermedades [que han matado mucho politico] y se desploma un restaurant en MALLORCA
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Bobosphère vs Fachosphère?!.
Bobosphère vs Fachosphère?!. Dis-moi qui tu détestes et je saurai ce que tu diras, écriras... Quand, sur tous sujets politiques et/ou sociétaux, les débats riches d’opinions différentes, opposées sont dans les médias, sur les plateaux des chaines en continu remplacés par des discussions (type café du commerce) menées par des intervenants qualifiés d’experts ressassant, émission après émission et article après article, les mêmes clichés et raccourcis simplistes assortis de sous-entendus insultants, dégradants envers ceux qui, rarement représentés au sein de ces réunions entre gens de même « bonne compagnie », sont décrits soit, s’il s’agit des citoyens, d’idiots complotistes surfant sur les réseaux sociaux ou soit, pour des politiciens nationaux ou internationaux, de dirigeant(e) ou d’élu(e) populiste voire extrémiste!. Dans ce monde de la communication qui, grâce à tous les outils mis à la disposition de tous/toutes et non plus réservé à un entre soi dominant le pouvoir politico-médiatique, on aurait pu espérer assister à des débats multiples sur quantité de sujets sans interdits, hormis le respect des lois et celui de chacun des intervenants. A l’évidence, force est de constater que des « élites » qui, jusqu’à l’essor des réseaux sociaux, ont été les seules détentrices des médias et qui ont su, via tous les plateaux de chaines tv, mettre en scène une armada d’individus présentés comme « experts » qui ne transmettent que les messages du pouvoir politique ou scientifique…en place, sont arrivées à la conclusion que décidément, tout comme pour les très rares référendums (dont les dirigeants ne respectent les réponses que si celles-ci leur conviennent), laisser la parole libre au « peuple », lui laisser l’opportunité via internet de douter de leurs vérités soi-disant incontestables, de rappeler leurs écrits et affirmations, leurs discours et promesses (vidéos à l’appui), combien ces vérités d’hier sont devenues les mensonges d’aujourd’hui, risquait à court terme de faire perdre à ces « élites » ce cher pouvoir dont, à force de le détenir depuis si (trop) longtemps, elles ont fini par s’en croire les seules propriétaires!. Suite de cet article écrit et publié sur L'INFOTOX/Wordpress
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Joyeux Anniversaire à Dany Laferrière.
Académicien, écrivain, réalisateur. Né le 13 avril 1953.
Né à Port-au-Prince en 1953 d’un père intellectuel et homme politique, Windsor Klébert Laferrière, et d’une mère archiviste à la mairie de Port-au-Prince, Marie Nelson, Windsor Klébert, qui deviendra Dany, passa son enfance avec sa grand-mère, Da, à Petit-Goâve, dans cet univers dominé par les libellules, les papillons, les fourmis, les montagnes bleues, la mer turquoise de la Caraïbe et l’amour fou pour Vava. Ces épisodes heureux sont relatés dans deux de ses romans : L’Odeur du café et Le Charme des après-midi sans fin.
À la fin de ses études secondaires au collège Canado-Haïtien, Dany Laferrière commence à travailler à l’âge de dix-neuf ans à Radio Haïti Inter, et à l’hebdomadaire politico-culturel Le Petit Samedi soir. Il signait, à la même époque, de brefs portraits de peintres dans leur atelier pour le quotidien Le Nouvelliste.
À la suite de l’assassinat de son ami Gasner Raymond, trouvé sur la plage de Braches, à Léogâne, le 1er juin 1976, il quitte précipitamment Port-au-Prince pour Montréal. Cet évènement sera raconté dans son roman Le Cri des oiseaux fous.
Il débarque dans une ville en pleine effervescence des Jeux olympiques et à la veille des élections historiques qui amèneront l’équipe de René Lévesque au pouvoir pour changer à jamais le paysage politique du Québec.
Seul, il observe cette ville nouvelle, et s’acclimate difficilement à l’hiver, parcourant le quartier latin fourmillant d’artistes où il dépose ses pénates. C’est un homme libre de vingt-trois ans qui s’engage dans une nouvelle vie tout en luttant pour échapper à la nostalgie, à la solitude et à la misère.
Pendant huit ans, il enchaîne les emplois précaires, parfois dans des usines en banlieue de Montréal, logeant dans des chambres « crasseuses et lumineuses » sans cesser de caresser un vieux rêve d’écrivain. Il se procure chez un brocanteur de la rue Saint-Denis cette fameuse machine à écrire Remington 22, qui l’accompagnera pendant une dizaine de romans.
Le voilà installé dans sa baignoire « rose » avec du mauvais vin pour lire tous ces écrivains qu’il ne pouvait se payer à Port-au-Prince : Hemingway, Miller, Diderot, Tanizaki, Gombrowicz, Borges, Marie Chauvet, Bukowski, Boulgakov, Baldwin, Cendrars, Mishima, Marquez, Vargas Llosa, Salinger, Grass, Calvino, Roumain, Ducharme, Virginia Woolf... Il deviendra le lecteur passionné, « l’homme-livre » que l’on connaît.
Paraît, en 1985, le roman Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, qui explose dans le ciel littéraire du Québec.
À la suite du succès éclatant de son premier roman, la nouvelle télévision Quatre Saisons l’embauche en 1986 pour présenter la météo. Le Québec reçoit le choc d’un Noir annonçant la neige et les angoissantes blancheurs de février, tout cela avec légèreté et humour. Un nouveau personnage est né dans le paysage télévisuel. Ce qui l’amènera à la fameuse émission de Radio-Canada, La Bande des six, qui réunit six des meilleurs chroniqueurs de la presse québécoise.
1986, c’est aussi la mort de Jorge Luis Borges, ce vieux maître aveugle de Buenos Aires qu’il ne cessera jamais de lire. 1986, c’est surtout la fin de la dictature des Duvalier et un premier bref retour en Haïti. Avec son ami, l’écrivain Jean-Claude Charles, il parcourt le pays tout en tenant une chronique quotidienne pour Le Nouvelliste sur la débâcle des tontons macoutes et la fin du régime des Duvalier.
1989, la sortie du film tiré de son premier roman, Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, lui permet de se familiariser avec le cinéma. Le film provoque un scandale aux États-Unis où la plupart des grands médias l’ont censuré. Le cinéma influence grandement son écriture (Le Goût des jeunes filles). C’est l’époque où il fréquente le petit cinéma « Le Ouimetoscope », découvrant un cinéma d’auteur qui imprègnera son œuvre.
En 1990, il quitte Montréal avec sa famille pour Miami, afin d’échapper à l’hiver mais surtout à cette célébrité bruyante qui n’était pas compatible avec le silence intérieur qu’exige le travail d’écrivain. Il écrit paisiblement à Kendall dix romans en douze ans, des livres qui forment l’ossature de son œuvre, dont le fameux cycle haïtien : L’Odeur du café, Le Goût des jeunes filles, Le Charme des après-midi sans fin, La Chair du maître, Le Cri des oiseaux fous, Pays sans chapeau… Miami, c’est l’époque studieuse où l’auteur travaille sans relâche, pas loin d’un petit lac dont il fait le tour chaque matin en ruminant les descriptions et les dialogues à écrire.
Printemps 1999, le Québec est le pays à l’honneur au Salon du livre de Paris. Invités de l’émission Bouillon de culture, de Bernard Pivot, avec Robert Lalonde et Gaétan Soucy, les trois écrivains québécois se distinguent ce soir-là. Dany Laferrière va jusqu’à souhaiter que l’on puisse remettre un jour le prix Nobel au Québec pour l’originalité de sa littérature.
Retour à Montréal après la sortie du Cri des oiseaux fous, son dixième roman, et fin de l’épisode de Miami.
Après une quinzaine d’années de travail acharné, Laferrière décide de cesser d’écrire de nouveaux récits pour prendre le temps de « revisiter » ses précédents romans. Il réécrit six romans, ajoutant de nouveaux chapitres, jusqu’à faire surgir une œuvre plus dense. Le procédé de réécriture à la manière Laferrière étonne considérablement la critique et encore davantage les universitaires.
Il redessine lui-même son œuvre, aménageant des passerelles entre les romans jusqu’à découvrir qu’il s’agit en fait d’un seul livre : une Autobiographie américaine. Cette Autobiographie américaine permet de lier les deux cycles, le cycle nord-américain, composé de romans urbains, agressifs, et le cycle haïtien, plus calme et empreint de la tendresse de Da, sauf lorsque l’action se déroule dans l’atmosphère de la dictature. Pendant longtemps, les critiques évoquent une autobiographie en dix romans. Il s’agit, selon Laferrière, d’un ensemble comprenant récits, romans et essais, qui forme aujourd’hui un corpus de vingt-deux ouvrages.
Après avoir scénarisé Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, Le Goût des jeunes filles et participé activement à l’élaboration de Vers le sud, de Laurent Cantet, avec Charlotte Rampling, Laferrière scénarise et réalise son premier film Comment conquérir l’Amérique en une nuit. Il retrouve sur le plateau son vieux complice Maka Kotto dans ce film qui raconte une histoire pas trop éloignée de celle de cet enfant d’Haïti. Une narration où deux hommes échangent leurs expériences. L’oncle, qui vit depuis vingt ans à Montréal, décide de rentrer tandis que son jeune neveu arrive à Montréal pour y rester. On dirait deux paquebots se croisant dans la nuit sans se voir. Les critiques y ont pourtant vu un seul et même personnage : l’auteur n’a fait que mettre en scène deux périodes de sa vie.
En novembre 2009, Laferrière fait une rentrée remarquée avec L’Énigme du retour, qui a un vif succès au Québec avant de recevoir le prix Médicis. De nombreux prix suivront, dont le Grand Prix du livre de Montréal, le prix des libraires du Québec, le Combat des livres de Radio-Canada.
Janvier 2010, Laferrière se trouve à Port-au-Prince quand le séisme frappe le pays. Il note sur son carnet noir ses observations de manière si spontanée que les lecteurs auront l’impression de vivre l’évènement en direct. Tandis que la télévision montre les immeubles effondrés et compte les morts, Laferrière raconte la vie quotidienne dans une ville complètement brisée et les tentatives désespérées des gens pour garder une certaine dignité dans le malheur. La littérature, en s’éloignant du scandale, nous fait pénétrer dans l’intimité de la catastrophe.
Il publie en 2011, L’Art presque perdu de ne rien faire, qui rassemble ses chroniques sur Radio-Canada. Cet essai remporte un étonnant succès critique et de librairie.
Deux ans plus tard, en février 2013, il récidive avec Journal d’un écrivain en pyjama. Dans cet essai, Laferrière fait l’éloge de ses deux passions : l’écriture et la lecture, en deux cent deux chroniques sur des sujets aussi divers que la place de l’adjectif dans la phrase ou le plagiat dans les mœurs de la littérature. Ce livre intéressera l’écrivain en herbe comme le lecteur passionné. Il préside du 1er au 8 mai 2013 les Rencontres québécoises en Haïti, évènement qui rassemble une cinquantaine d’auteurs et de professionnels du livre haïtiens et québécois.
Prix international de littérature décerné par la Maison des cultures du monde, pour L’Énigme du retour, en 2014. Grand Prix Ludger-Duvernay, en 2015. En 2016, docteur honoris causa de Midlebury College (USA) et des universités Paris-Sorbonne et Pierre et Marie Curie.
Officier de l'ordre national du Québec (2014), citoyen d'honneur de la ville de Montréal (2014), officier de l'ordre du Canada (2015), compagnon des Arts et des Lettres du Québec (2015).
Élu à l’Académie française, le 12 décembre 2013, au fauteuil d’Hector Bianciotti (2e fauteuil)
Œuvres
Certains ouvrages sont édités chez Grasset : Le goût des jeunes filles (2005), Je suis un écrivain japonais (2008), L’énigme du retour (2009), Chronique de la dérive douce (2012), Journal d’un écrivain en pyjama (2013).
1985 Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer (VLB Éditeur)
1985 Haïti (Québec) - scénario; réalisation Tahami Rached
1987 Éroshima (VLB Éditeur)
1991 L’Odeur du café (VLB Éditeur)
1992 Le Goût des jeunes filles (VLB Éditeur)
1993 Cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle une arme ou un fruit ? (VLB Éditeur)
1994 Chronique de la dérive douce (VLB Éditeur)
1996 Pays sans chapeau (Lanctôt Éditeur)
1997 La Chair du maître (Lanctôt Éditeur)
1997 Le Charme des après-midi sans fin (Lanctôt Éditeur)
2000 J'écris comme je vis - entretien avec Bernard Magnier (Lanctôt Éditeur)
2000 Je suis fatigué (Lanctôt Éditeur)
2000 Le Cri des oiseaux fous (Lanctôt Éditeur)
2004 Comment conquérir l’Amérique en une nuit - réalisation et scénario
2005 Les Années 80 dans ma vieille Ford
2006 Je suis fou de Vava - illustrations de Frédéric Normandin (Éditions de la Bagnole)
2006 Vers le sud (Boréal)
2008 Je suis un écrivain japonais (Boréal)
2009 La Fête des morts - illustrations de Frédéric Normandin (Éditions de la Bagnole)
2009 L’Énigme du retour (Boréal)
2010 Conversations avec Dany Laferrière - interviews de Ghila Sroka (La Parole métèque)
2010 Tout bouge autour de moi
2011 L’Art presque perdu de ne rien faire (Boréal)
2013 Journal d’un écrivain en pyjama
2014 L'art presque perdu de ne rien faire (Grasset)
2015 Tout ce qu’on ne te dira pas Mongo (Boréal)
2015 Dany Laferrière à l’Académie française (Boréal)
2016 Mythologies américaines (Grasset)
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Un texte de Jean-Pierre Luminet
Je souhaite faire une longue mise au point à propos de mon billet du 11 août concernant mon opposition radicale au pass sanitaire, et qui a récolté le plus grand nombre de commentaires que j’aie jamais eus. Je remercie en premier lieu les personnes qui ont approuvé ma prise de position - la grande majorité, mais je sais bien qu’il y a un fort biais de sélection, venant du choix que je fais dans l’acceptation ou pas des nombreuses « demandes d’amitié » que je reçois sur FB.
Comme je n’écris pas ici pour recueillir des suffrages dont je n’ai nul besoin, j’ai été davantage attentif aux arguments des personnes qui me désapprouvent tout en restant polies (j’ignore celles qui se répandent en insultes), et c’est pour elles que je tiens à préciser mes positions, si elles acceptent honnêtement de me suivre dans un texte assez développé (sans doute trop pour FB, peu de lectures iront au bout).
Ma formulation initiale, de par sa concision, était forcément abrupte et a été très largement mal interprétée. Primo, un certain nombre de mes contradicteurs ne savent pas (ou ne veulent pas) lire correctement : mon billet d’humeur et d’indignation portait clairement contre le pass sanitaire, pas contre la vaccination.
• Certains pro-pass « raisonnent » de la façon suivante : « le vaccin implique le pass, être contre le pass implique donc être contre le vaccin ». Un sacré syllogisme, qui viole le B-A-BA de la logique. Ce sont deux sujets différents, certes en partie liés mais que les autorités politico-sanitaires se plaisent perfidement à identifier pour mieux brouiller les pistes. Certains de mes lecteurs attentifs ont bien tenté de le rappeler, mais autant chanter pour des sourds. D’autres ont à juste titre rappelé que de nombreuses personnes vaccinées manifestaient contre le pass et, bien qu’en étant munies, refusaient de s’en servir pour leurs activités non vitales (bars, restaurants, salles de spectacles), en attendant que l’apartheid actuellement instauré meure dans son propre étouffement morbide.
• En aucune façon je ne me glorifie de mon opposition au pass ni ne me pose en « héros résistant ». Ce serait complètement bouffon et stupide : j’ai parfaitement conscience que, de par mes activités et mon parcours, je suis archi-privilégié car je peux me permettre de boycotter les activités non vitales (qui représentent cependant beaucoup dans ma culture : concerts, cinémas, expositions, musées, gastronomie). Donc, annuler une conférence exigeant le pass, ou bien en assurer d’autres en faisant des heures de voiture plutôt que de prendre, masqué et QR-codé, le TGV ou l’avion, ne fait pas de moi quelqu’un de courageux: juste une personne cohérente.
Je constate d’ailleurs un certain manque de cohérence chez certaines personnes farouchement anti-pass, mais qui, au lieu de boycotter les lieux non vitaux qui l’exigent, acceptent de subir un test PCR pour pouvoir assister à un concert ou un spectacle. C’est, d’une certaine manière, aussi céder au chantage gouvernemental. D’autres se contentent de « liker » les « posts » des « anti-pass » les plus actifs des réseaux sociaux (dont certains sont utiles en indiquant des liens instructifs) sans s’engager davantage, alors que par exemple elles pourraient adhérer à des associations comme Reaction19 (moyennant petite cotisation), qui fournissent d’utiles documents à caractère juridique permettant de contrer l’illégalité croissante des injonctions gouvernementales, envoyer une requête à la Commission Européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg permettant, sinon de bloquer, du moins de retarder le processus administratif de validation des mesures liberticides (le formulaire juridique se trouve facilement sur internet, ça coûte deux timbres pour l’envoi), etc.
• Je n’aurais jamais l’outrecuidance de critiquer les personnes pour qui le pass sanitaire est vital pour simplement pouvoir travailler. Il faut être fondamentaliste anti-vax pour leur dénier ce droit évident de choisir la survie professionnelle et financière, certains le faisant malgré eux et parfaitement conscients que cette politique d’apartheid et d’exclusion est particulièrement perverse, ne reposant en outre sur aucune vérification scientifique.
Je ne jetterai même pas la pierre aux personnes qui utilisent le pass pour pouvoir continuer à vivre à peu près « normalement » et confortablement (en admettant que ce soit normal de montrer un QR code pour boire un coup et confortable de se faire contrôler toutes les dix minutes pendant que vous sirotez un café), prendre des vacances en Grèce ou ailleurs, etc.. Je regrette simplement que, pour nombre d’entre elles, la conscience politique et l’idéal de liberté passent après leur petit intérêt personnel. Mais je pense aux jeunes, pour qui, après des mois extrêmement difficiles d’isolement dus au confinement, aux cours à distance, etc., ont impérativement besoin, pour leur équilibre mental, d’avoir une vie sociale et de fréquenter les établissements de socialisation exigeant le pass. Un de mes grands enfants, étudiante, est dans ce cas, et quoique dubitative sur l’efficacité du vaccin, elle y est passée pour obtenir son autorisation, et je l’ai approuvée.
Je comprends fort bien que 95% desdits établissements obéissent à la loi, fût-elle parfaitement inique, pour simplement continuer à fonctionner. Mais j’admire particulièrement les 5% restants qui s’opposent clairement au rôle de flicage et de contrôle qu’on veut leur imposer et qui n’est pas le leur, quitte à payer une amende (de toute façon illégale ; il y a d’excellents sites d’avocats fournissant les formulaires de contestation fondés sur des articles précis de la constitution). J’aurais simplement aimé que les gérants de lieux publics (bars, restaurants, cinémas, salles de spectacles, musées, etc.) qui se plient à l’injonction gouvernementale – laquelle les conduit inexorablement à la faillite- comprennent que l’union fait la force, et que si une proportion plus importante (disons 30%) d’établissements refusait d’obtempérer, le système s’effondrerait de lui-même.
• En revanche j’avoue m’agacer contre toute une catégorie de personnes pro-pass qui justifient cette intenable position en reprenant à leur compte les slogans du prêt-à-penser préparés d’avance par les merdias et autres réseaux sociaux, tous complices de l’hystérie. Exemple : « avant la résistance c’était mettre sa vie en jeu pour la liberté des autres, aujourd’hui c’est mettre en jeu la vie des autres pour sa propre liberté », ce qui est complètement bidon, ne serait-ce que, primo, parce que refuser le pass c’est s’ôter à soi-même la plupart des libertés, secundo, parce que quand la pandémie laisse 99,97% de la population mondiale parfaitement sauve (chiffre officiel), on met statistiquement moins en danger la vie d’autrui que lorsqu’on prend le volant de sa voiture après avoir bu un verre de trop. Et qui d'entre vous ne l’a pas fait ?
Avant, en pleine période de confinement, on avait eu pire comme slogan débile : « Je reste chez moi, je sauve des vies ».
Encore plus ridicule est l’image véhiculée par ceux qui s’offusquent que l’on puisse utiliser le terme de dictature sanitaire (dictature disons « douce » pour commencer, puisque je puis encore m’exprimer ici, mais des centaines d’autres récalcitrants ont déjà eu leur parole bloquée, et vous verrez, bonne gens, cela ne fait que commencer). Image donc où l’on voit le dirigeant dingue de la Corée du Nord ou encore un taliban barbu d’Afghanistan s’esclaffer en offrant l’asile politique aux français qui veulent fuir la dictature. S’il y a en effet toujours pire ailleurs, est-ce une raison pour accepter toutes les dégradations de sa propre condition ? A tout relativiser on stagne dans l’acceptation de tout et la passivité la plus totale. C’est aussi le cas pour les comparaisons stupides du genre « je m’arrête bien aux feux rouges et je mets ma ceinture ». J’ai du mal à comprendre pareil dysfonctionnement des neurones.
Passons à une autre catégorie qui m’amuse assez : celle des scientistes purs et durs formatés par la « méthode », qui ne comprennent pas qu’un esprit « jadis brillant » (ce n’est pas moi qui le dis, c’est eux) puisse se fourvoyer à ce point, être « dans un brouillard mental », carrément « tombé en déchéance ». L’un d’eux m’a particulièrement fait rire en parlant du « spectacle attristant d’un savant qui ne colle pas à la science ! » Le verbe « coller » parle de lui-même. Est-ce que les Copernic, Kepler, Galilée, Darwin et autres Einstein collaient à la science de leur temps ? (je ne me compare aucunement à ces grands esprits, c’est juste un petit rappel sur la façon dont la science progresse : jamais en « collant » !).
Trois explications seulement leur viennent à l’esprit, sous forme de mantras qu’ils doivent se répètent intérieurement à chaque fois qu’ils lisent quelque chose qui les dérange : la sénilité, le complotisme ou le charlatanisme. Pour la sénilité, un de mes « défenseurs » a fait remarquer que pour quelqu’un qui venait d’obtenir la seule année 2021 trois prix scientifiques internationaux il y avait pire comme déchéance… Je le remercie de s’être correctement renseigné à mon sujet. Pour le complotisme, on sait bien que c’est devenu le mot magique servant à exclure d’office toute parole contradictoire. Quant au charlatanisme, il est amusant de voir que ce sont toujours les mêmes qui s’en prennent pêle-mêle à la médecine naturelle, à l’homéopathie, à ceux qui se méfient des pesticides et des OGM, maintenant le yoga considéré comme une dérive sectaire, bref le grand sac de tout ce qui n’est pas conforme à la vision occidentalo-capitalistique.
• Il est clair que les journalistes des chaînes télé et radio d’état (c’est-à-dire détenues par des proches du pouvoir), qui ne savent plus faire de l'investigation et sont devenus des serpillières de l'état, mentant et manipulant des masses trop peu pensantes, sont en grande partie responsable de cet abrutissement (la palme revient peut-être à France Info : la veulerie mégalomane de leurs chroniqueurs dépasse l’entendement). Parmi eux, les plus actifs donneurs de leçons sont ceux étiquetés « scientifiques » (la majorité; mais la minorité qui tente encore de faire son travail d’investigation n’a quasiment plus droit à l’antenne). A propos d’un de mes billets antérieurs, l’un d’eux m’avait par exemple « morigéné » (j’adore ce verbe rappelant l’époque révolue où l’écolier garnement pouvait encore être grondé par le maître), en m’écrivant : « vous devriez avoir honte » !
Je puis comprendre dans une certaine mesure cette idiosyncrasie journalistique : ne pratiquant pas la science de l’intérieur puisqu’ils ne sont pas chercheurs (ou n’ont pas réussi à le devenir), les journalistes s’en font une idée totalement candide.
Primo, ils ne jurent que par la soi-disant « méthode scientifique », laquelle, au-delà de sa vertu effective de limiter certaines dérives, rencontre vite ses propres limites en bridant la créativité et l’invention, comme le montrent des siècles d’histoire des sciences.
Secundo, ils ne « raisonnent » qu’en termes de statistiques, auxquelles ils ne comprennent rien – tout comme au demeurant bon nombre de scientifiques non mathématiciens–, ou alors qu’ils manipulent comme bon leur semble. Les champions toutes catégories dans le genre sont les « fast checkers » (Le Monde, Libé, CNews, etc., tous les médias ayant désormais leur officine), dont les « productions » sont à mourir de rire.
Tertio, ils utilisent à tout va l’argument d’autorité et ce qu’ils définissent comme étant le « consensus » : selon eux, si 90% (du moins selon leur propre statistique) des scientifiques disent que c’est vrai, hé bien c’est que cela est forcément vrai ! Ils ignorent - ou feignent d’ignorer pour ne pas avoir à perdre leur credo – le niveau de bidonnage, de coups tordus et autres fraudes qui sont la plaie d'une partie de la recherche scientifique. En revanche ils sont les premiers à accuser de fraude et de bidonnage les 10% de chercheurs qui contredisent la doxa. L’un des plus hystériques d’entre eux m’a récemment rétorqué que moi-même je croyais bien aux trous noirs, puisque 90% de mes collègues y croyaient, qu’on avait observé au télescope l’image de l’un d’entre eux et qu’en plus le résultat était conforme à mes propres calculs ! Hé bien ce brave journaliste et astronome amateur n’a visiblement rien compris à ce qu’est la recherche fondamentale : on n’élabore pas des modèles pour prouver qu’ils sont vrais, mais pour montrer qu’ils sont plausibles, éventuellement meilleurs que les explications alternatives. J’ai beau avoir travaillé 45 ans sur mes chers trous noirs, je ne sais fichtrement pas s’ils existent réellement ! Je sais juste qu’il y a des astres qui leur ressemblent comme deux gouttes d’eau et que l’on n’a à ce jour pas de meilleure explication que celle fournie par la relativité générale.
Je suis d’ailleurs assez étonné que ce soit dans le domaine des sciences de l’univers, celui qui à mon avis demande le plus d‘imagination et d’indépendance d’esprit tant le mystère du cosmos est grand et les préjugés de divers ordres sont tenaces, que les certitudes scientistes sont les plus grandes. Des journalistes plus ou moins spécialisés en astronomie s’en prennent à moi de façon assez virulente (ce que j’écris là ne va pas arranger les choses). D’autres, qui ont jadis loué mes travaux, ont fait de votre serviteur de beaux portraits et interviews, voire continuent à le faire de façon pertinente dès lors que je ne sors pas de ce qu’ils considèrent être mon seul champ de compétence, s’inquiètent de ma « déviance ». Je suis personnellement touché de leur sollicitude, et je ne puis que les rassurer sur le fait que je me sens en pleine possession de mes moyens intellectuels, comme pourraient en témoigner ceux qui ont pris la peine de lire mon récent ouvrage sur la gravitation quantique.
Pour en revenir aux peu glorieuses pratiques de la recherche scientifique, si un jour je trouve le temps de rédiger mes mémoires de chercheur, j’en donnerai quelques édifiants exemples. Pourtant, le niveau de truandage dans mon domaine des sciences dites « dures » (celles de la matière et de l’univers) est beaucoup moins élevé que dans les sciences du vivant, ne serait-ce que parce que c’est plus difficile de truander des équations que des données statistiques sur échantillons non significatifs.
Je reçois régulièrement le bulletin d’information sur l’intégrité scientifique issu de l’Institut de Recherche et d’Action sur la Fraude et le Plagiat Académiques (IRAFPA) dirigé par l’excellente chercheuse en sciences sociales Michelle Bergadaa. Les résultats sont effarants. Comme on peut s’en douter, c’est dans les domaines de la recherche où les enjeux financiers et économiques (par le biais de brevets) sont importants que le trucage est massif : la médecine, la pharmacologie et les sciences du vivant sont au premier rang. Il n’y a qu’à voir le scandale de l’an passé sur l’article bidonné publié dans le Lancet, que la gent journalistique a rapidement et pieusement étouffé tant le bidonnage arrangeait leur credo. Car ils Croient, eux : le doute, ils ne connaissent pas ! L’Apologie de Raymond Sebond dans les Essais de Montaigne sur le scepticisme, jamais lu, ni même entendu parler ! Or, un scepticisme de principe, assorti de discussions et échanges dialectiques, est le fondement même de la juste démarche scientifique. Cela ne fait pas forcément de vous un climatosceptique. Mais ce sont désormais les journalistes qui désignent au bon peuple les bons scientifiques (ceux qui « collent ») et les mauvais (ceux qui ne « collent » pas) !
Ceci dit, je ne méprise aucunement ces points de vue différents : je les désapprouve fortement, ce qui est très différent. Je pense en effet qu’ils sont erronés et délétères, soit parce qu’ils sont générés par la mauvaise foi, le parti-pris, ou bien manipulés par la peur, ou encore par manque d’informations objectives, de réflexion personnelle, de lucidité, de conscience sociale et politique, etc.
• En revanche je ne trouve aucune excuse à la fraction de personnes que j’estime être de véritables collabos de la répression et du contrôle, et qui utilisent les moyens les plus malhonnêtes - tricheries, falsification des faits (un certain nombre hélas dans le milieu des chercheurs en sciences du vivant compromis dans des conflits d’intérêt et plaçant leur intérêt financier plus haut que la plus élémentaire déontologie médicale), délations et autres perfidies les moins reluisantes de la nature humaine – pour propager leur idéologie mortifère. Il y a toujours eu des salopards dans la tragique histoire de l’humanité et il y en aura toujours. Cela ne les dédouane pas pour autant. Beaucoup sont actuellement au pouvoir ou en sont l’oreille. J’ai une véritable aversion pour l’ensemble de la classe politique dirigeante, clique de paranoïaques pervers. Le plus terrible c’est que je ne vois à l’horizon mai 2022 aucune figure alternative. En tout cas leur temps passera tôt ou tard, et l’Histoire les jugera peut-être à l’aune du mal qu’ils auront fait.
Je m’arrête là. Il est temps diront certains.
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EL MAYOR SUEÑO DEL PADRE DE NUESTRA PATRIA
El caborrojeño RAMÓN EMETERIO BETANCES fue quien diseñó y creó un concepto politico que dió MUCHO de que hablar en su época conocido como LA CONFEDERACIÓN ANTILLANA. ___ La idea era unir las 3 Antillas Hispanas; algo así como crear un “Estados Unidos del Caribe” o una “Unión Europea” pero Hispano-Caribeña. ___ Este ENTE trabajaría para proteger la soberanía y fomentar el bienestar para Cuba, República Dominicana y Puerto Rico. ___ Internacionalmente, 3 países en uno. Donde se protegen, se cuidan y abastecen, unos a otros. ___ Exportando productos de Puerto Rico, Dominicana y Cuba como una entidad. Posible potencia mundial en productos como café, azúcar, tabaco, plátanos, jengibre, yuca y una gran variedad de productos tropicales de alta calidad.. ___ Dos propósitos principales: terminar así con el colonialismo europeo en América y dar una respuesta a la Doctrina Monroe de Estados Unidos; que mientras decía “América para los americanos” (y los “americanos” eran ellos); Betances contestaba: “ANTILLAS PARA LOS ANTILLANOS”. ___ Tuvo muchos simpatizantes la idea pero dentro de los mayores defensores de la Confederacion Antillana se encontraban: Eugenio María de Hostos; el héroe militar dominicano Gregorio Luperón; el gran José Martí y José de Diego. BETANCES pensó en una confederación que incluyera a HAITÍ. La idea de Betances no es una mala idea, es digna de análisis. 150 años después sabemos que bien administrado LA CONFEDERACION ANTILLANA pudo haber sido una potencia educativa, científica, deportiva: ¿se imaginan un equipo de béisbol o baloncesto con lo mejor de la Confederación?; o una posible potencia musical, gastronómica, artística, turística y comercial con una ubicación geográfica envidiable ... con una frontera desde Cuba hasta Vieques. Hay algo MUY interesante, se sugirió que la Bandera Oficial de la CONFEDERACIÓN ANTILLANA fuera la que nosotros conocemos como la BANDERA DE LARES. Advertencia: EL CONOCIMIENTO PUEDE SER BENEFICIOSO PARA SU SALUD
#RAMÓN EMETERIO BETANCES#La confederación antillana#Boricuazo#puerto rico#cuba#republicadominicana#republica dominicana#puertorico#puertorriqueño#boricuas#haiti#el caribe#politica#educación#despierta boricua
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NO SOY FAMOSO PERO TENGO ALGO DECIR (49)
Mi VIDA Y SUS INFIERNOS
En el año 1994 intenté crear una ASOCIACIÓN DE ENFERMEROS. Me torpedearon de tantos lados que no me quedó otra que abandonar el barco.
Dos años y algunos meses permanecí en el servicio de Obstetricia. Era un buen profesional más que todo en el trato con las pacientes. Muchas de ellas me contaban lo insensible que eran muchas de mis colegas de los otros turnos. Se podían morir de dolor que nadie las venía a ayudar. Se pasaban encerradas en el office fumando, tomando mate o intrigando.
Mi excesiva responsabilidad me llevaba a tener algunos roces con otras enfermeras.
Cuando tomaba el Servicio pasaba por cada una de las habitaciones para ver en qué estado se encontraban las hospitalizadas. Siempre había alguna que me reclamaba un calmante, otra me contaba que su marido no la había venido a visitar, o aquella otra que sospechaba que su hombre le era infiel. En ese trámite de tratar personalmente a cada paciente, evité que una de ellas se muriera.
Sus compañeras de habitación me alertaron que hacía un par de horas que estaba adormecida. No dudé en llamar a los médicos de guardia, quienes de inmediato ordenaron su traslado al Hospital General de AGUDOS.
La paciente había sufrido una alteración en su sensorio a causa de una eclampsia (hipertensión que durante el embarazo se caracteriza por presentar convulsiones y estados de coma). Afortunadamente, la madre y el bebé sobrevivieron al caos.
Los cuatro enfermeros del turno noche recibíamos conceptos laudatorios tanto de pacientes como de familiares lo que provocaba que las otras enfermeras nos tuvieran una envidia malsana. Todo concluyó con la separación de nuestro cuarteto.
Típica decisión de gente mediocre.
Yo fui a parar a Moderados B. Aquí se internaban chicos que sufrian patologías que no exigian de mayor complejidad.
Fue a partir del RENACIMIENTO (Siglos XV y XVI), cuando comenzaron a considerarse las enfermedades de los niños como una actividad médica.
Los tres Moderados estaban casi juntos y esto posibilitaba una estrecha relación y la ayuda mutua cuando uno se veía sobrepasado de trabajo.
Me vida útil en Moderados B terminó ocho meses después. Todo porque insulté a una enfermera del turno mañana cuando la vi maltratando a una madre que tenía internado a su bebé en nuestro servicio.
La que tomó la decisión de fletarme fue una Supervisora que era una corrupta consagrada: autorizaba el pago de horas extras a aquellas Enfermeras que estaban dispuestas a darle una tajada de su plus salarial.
Fui a parar a Oncología, un área terrible. No se soportaba por mucho tiempo el padecimiento de los pequeños pacientes.
Las patologías más comunes que se tratan aquí eran : la Leucemia, VIH Sida (contagiados en el canal de parto), y el Linfoma de Hodgkin.
Una vez me avisaron que había que tener una cama preparada para una nena de siete años. Fue su maestra la que notó que la chiquita no estaba bien. Pruebas de laboratorio dieron que tenía leucemia.
A la madre se le indicó que comenzara las gestiones para conseguir del Estado provincial los sesenta mil dólares que era lo que demandaba un trasplante.
Los trámites cayeron en la red burocrática y el polvo los terminó cubriendo.
Los padres en vez de presionar, se dejaron estar y la chiquita se murió. Horas antes de irse de este mundo la niña pidió pasear en una limusina por la ciudad.
A los que ella le había tomado cariño les hizo un regalo: a mí me dejó un tupperware que yo utilicé para guardar fideos secos.
Al año siguiente me encontré con la madre del ángel caído: estaba embarazada.
Una niña de unos ocho años padecía de un tumor cerebral. Por efecto de la presión intracraneal uno de sus ojos había multiplicado su tamaño. Su madre era una persona mayor, a quien su marido la había abandonado y sola lidiaba con su criatura enferma.
Era Nochebuena. Todos estábamos alterados por la muerte del marido de una de nuestras compañeras en un accidente de tránsito, De pronto se oye un grito desgarrador. Era la voz de la madre de la exoftálmica. Como nadie se animaba a entrar a su habitación fui yo quien se encargó de preparar a la pequeña difunta para su traslado a la morgue. El ojo colgaba de su mejilla.
HODGKIN. Es un tipo de de cáncer que se origina en el tejido linfático. Fue reconocida por primera vez en 1832 por el médico británico Thomas Hodgkin (n.1798.)
TUPPERWARE. El estadounidense Earl Silas Tupper (n. 1907), fue el creador de estos productos hechos de plástico destinados a conservar alimentos.
TENTACIÓN Y NUEVA DEBACLE. Una mañana, dos periodistas conocidos míos que estaban desocupados, me ofrecieron un proyecto por demás tentador: sumarme a la creación de un nuevo diario en la ciudad. Mi entusiasmo inconsciente me llevó a renunciar al Hospital. Iba a ganar en un solo mes más del triple de lo que obtenía como becario.
El diario comenzó a editarse a partir de enero de de 1995. Las perspectivas comerciales del nuevo producto eran buenas. Se podía conseguir mucha publicidad de los partidos políticos teniendo en cuenta que era un año electoral y, además en Mar del Plata se iban a disputar los Juegos Panamericanos.
Empujado por mi arrebato adolescente cometí el imperdonable pecado de no averiguar quiénes estaban metidos en este proyecto. Cuando me enteré ya era tarde para lágrimas. El dueño era un tunante de doble apellido. Y el Director, un borracho de larga data.
El Doble Apellido pertenecía a la rancia sociedad argentina, con mucha bosta encima. Le gustaba jugar al polo porque le daba lo mismo montar a un caballo que a un empleado. Se daba el gran dique y le debía a cada santo una vela. No se mosqueaba cuando sus empleados paraban por falta de pago.
Desde hacía una década que el tipo tenía la concesión del Hotel Provincial, el establecimiento con más historia en la ciudad: todo un símbolo y que, desde su inauguración, sufría de continuas depredaciones por parte de sus gerenciadores, sin que el Gobierno bonaerense, propietario del inmueble, no se molestara en enjuiciarlos. Había una multiplicidad de factores que para esto ocurriera.
En defensa de El Doble Apellido debo decir que durante el año le caían funcionarios y políticos quienes utilizaban sus instalaciones sin dejarle una mísera moneda. Esto lo vi con mis propios ojos.
El Gran Mar se presentó en sociedad durante una reunión social realizada en el Hotel Provincial al que concurrió la crema lugareña. Mar del Plata se presta para todo tipo de chantadas y esta era una más.
Desde su primer número el diario fue una verdadera cochinada periodística. Nunca supe qué intereses espurios dieron lugar a esta fantochada. No solamente Doble Apellido estafó a los periodistas, sino que también a muchos de los proveedores. Típicamente argentino.
La Redacción funcionaba en una dependencia del hotel. Lo peor de todo que la impresión se hacía a doscientos kilómetros de Mar del Plata. No existía posibilidad alguna de redactar una noticia de último momento.
La camioneta que llevaba los originales y traía los diarios más de una vez se descompuso y nuestro producto no se distribuía.
El Director era un devoto de los tragos largos. Lo habían echado del gran diario de la ciudad porque estaba senil y en la joda total. Ahora se pasaba todo el día en un café que estaba al lado de las oficinas chupando güisqui y fumando cigarrillos de tabaco negro, uno tras otro. Y cuando alguien le iba a hacer una consulta se enfadaba.
El personal contratado era, en su gran mayoría, gente inservible, tan incapaz, que para escribir veinte líneas necesitaba todo el día.
En mi desesperación por tratar de reflotar el mamotreto, me ofrecí hacer un suplemento dominical, por la misma paga, que fuera diferente y del agrado de nuestros exiguos lectores. Fue un esfuerzo inútil: esto no tenía marcha atrás.
en mi última semana en el gran mar entrevisté al actor HÉCTOR PELLEGRINi, (n.1931), quien estaba condenado a una vida miserable a causa de un avanzado Alzheimer.
Vivía con una hermana suya en Mar del Plata. Durante un tiempo pudo dar clases de teatro en una institución que estaba en el Puerto.
Yo lo había tratado personalmente durante uno de los últimos Festivales de Cine que se organizaron en Mar del Plata en los años sesenta del siglo XX.
Su cuarto de hora lo tuvo con dos películas emblemáticas: Alias Gardelito (1961) y Pajarito Gómez (1965.)
El Doble Apellido durante los Juegos Panamericanos regaló los diarios. Y después de las elecciones cerró el curro. De inmediato le cayó un embargo sobre lo poco y nada que quedaba del diario.
Después de putear al devoto de los tragos largos, me fui a mi casa. Por suerte pude cobrar el sueldo y la parte proporcional del aguinaldo. Las vacaciones las cobró Matusalém (primogénito de Caín.)
El Sindicato de Prensa, no movió un dedo por nosotros; estaba acostumbrado a acordar con la patronal antes que defender al trabajador.
En 1998 la bosta de guantes blancos abandonó el hotel, dejando un choclo en su huida.
El Gobierno provincial no se dio por enterado. Tenía arreglado su gerenciamiento con alguien que ya había estado al frente del Provincial, dejando un triste recuerdo.
Este nefasto personaje nunca fue investigado cuando dejó la administración del lugar.
Se alzaron algunas voces críticas y hasta hubo denuncias contra el sátrapa de la ciudad. Pero todo quedó en la nada. Tenia arreglado a politicos y a la prensa.
La vida es una fotocopia.
OTRA VEZ LA MALARIA. La economía familiar se había vuelto caótica. Mi Hijo, El Mediano, había vuelto a Mar del Plata después de seguirle los pasos a una brasileña de quien se había enamorado. La había conocido en Madrid. Era mucho mayor que él, divorciada y con una hija adolescente. La mujer era oriunda de San Pablo.
Al poco tiempo ella lo rajó de su lado. Y él se quedó empantanado en Brasil.
Mi Hijo llegó a la Argentina un poco caminando y otro tanto haciendo autostop.
En casa permaneció un año y medio sin conseguir una ocupación que le diera la posibilidad de mantenerse sin nuestra asistencia.
Creyó que en la Argentina podía hacer lo mismo que en España. Enseguida se enfrentó a una cruda realidad: la mafia marplatense le pedía que pagara un peaje para poder vender posters en una calle medianamente comercial.
La presencia de otra boca hizo que nuestra olla se desfondara. El único ingreso fijo era el de Mi Mujer. Mi relación con Mi Hijo era de mucha hostilidad. Él estaba acostumbrado a vivir sólo, a no compartir nada con nadie. Y ahora tenía que respetar los límites de convivencia con otras dos personas.
Para que no perdiera el tiempo le pedí que hiciera algún curso: se anotó en teatro. Su entusiasmo se debilitó rápidamente.
Mi Mujer había estudiado guitarra. Por una tendinitis tuvo que dejar de tocar. Mi Segundogénito encontró en ese instrumento un pretexto para no buscar trabajo
Se dedicaba a rascar todo el día.
En casa las cosas iban de mal en peor. Yo no sabía hacia dónde agarrar viaje: las changas se me habían terminado. Israel volvió a presentarse como la única salida. Tal cual me había sucedido en 1962, en 1972 y en 1989, volvía a ser febrero el mes de mi fuga.
Mi Mujer, se quedó a vender el pequeño y depreciado departamento. Lo largó al primer interesado que apareció por lo que le quiso pagar.
Una parte del dinero fue para Nuestro Hijo, quien viajó a Chicago donde vivía un supuesto amigo suyo, que había conocido en España. El yanqui resultó ser tan chanta como el pirado de Alcobendas: no le ayudó un carajo.
CHICAGO. Sus primeros habitantes los indios Potawatomis llamaron a este territorio "Chicaugou", que significa poderoso, fuerte o grande.
(Todos los textos: en el rincondelosimpios.blogspot.com/ (elhombre de la cortamemoria)
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Ali Rahni 2 octobre, 09:51 ·
Il est vraiment en mode campagne le président.. A lire « Vous êtes une projection de la France » : Emmanuel Macron s’adresse aux « petits-enfants » de la guerre d’Algérie Par Mustapha Kessous Le chef de l’Etat a reçu, jeudi, dix-huit jeunes, pour nourrir sa réflexion sur la « réconciliation des peuples ». S’il entend faire de la diaspora algérienne un pont pour réconcilier les mémoires, le président critique ouvertement la « rente mémorielle » entretenue par le système politico-militaire algérien et la « réécriture de l’histoire » par la Turquie. Il y a un invité qui s’est imposé sans bruit à ce déjeuner présidentiel : la souffrance. La souffrance d’appartenir à une histoire oublieuse, faite de non-dits, de dénis, de silences, de malentendus. Et de mensonges aussi. La souffrance de porter une mémoire lointaine qui brûle les âmes, génération après génération, depuis la fin de la guerre d’Algérie, en 1962. Même Emmanuel Macron le concède : « J’étais frappé, durant ces dernières années, de voir à quel point l’histoire et les mémoires de la guerre d’Algérie étaient la matrice d’une grande partie de nos traumatismes. Il y a des souffrances qui ont été tues, et qui se sont construites comme étant irréconciliables. Or, je pense tout l’inverse. » Jeudi 30 septembre, le chef de l’Etat a convié à l’Elysée, pendant deux heures, dix-huit jeunes gens – Français d’origine algérienne, binationaux et pour certains Algériens – pour échanger « librement » sur ce conflit. Avec un objectif : apaiser « cette blessure mémorielle », comme le rappelle l’historien Benjamin Stora, également présent. Pourquoi s’adresser à ces jeunes en particulier ? Parce que Nour, Amine, Lina, Gauthier, Lucie ou encore Yoann sont les petits-enfants de ces mémoires froissées entre les deux pays de la Méditerranée. En effet, leurs grands-parents ont été combattants du Front de libération nationale (FLN), militaires français, appelés, harkis ou rapatriés (pieds-noirs et juifs). L’un d’eux est même l’arrière-petit-fils du général Salan, ancien chef de l’Organisation de l’armée secrète (OAS). Depuis juin, dans une salle de Sciences Po Paris, ces jeunes, étudiants pour la plupart, se voient et réfléchissent à la manière de rapprocher toutes ces mémoires dont ils sont les héritiers. Ils ne se connaissaient pas auparavant, ils ont été réunis par Cécile Renault, chargée de mettre en œuvre les préconisations du rapport de Benjamin Stora sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », remis en janvier. Ils se sont donné pour mission de présenter, d’ici à la fin octobre, dix messages au président de la République, censés nourrir sa réflexion autour de « la réconciliation entre les peuples français et algérien ». « On n’a pas réglé le problème » Le déjeuner à l’Elysée est en quelque sorte un point d’étape, et une occasion pour le chef de l’Etat de se confronter à cette « troisième génération » si précieuse à ses yeux. « Vous portez une part d’histoire et aussi un fardeau, leur lance-t-il. Un fardeau car on n’a pas réglé le problème. Nos générations n’ont pas vécu cette guerre, ça nous libère de beaucoup de choses. Vous êtes une projection de la France, votre identité est une addition à la citoyenneté française. C’est une chance pour la France, une chance inouïe. Et pour moi, ce n’est pas un problème, on l’a fait trop vivre comme tel. » Emmanuel Macron veut faire de la diaspora algérienne en France un pont pour rejoindre l’autre rive. Pour y arriver, il a multiplié les gestes mémoriels depuis qu’il est à l’Elysée. Il a, entre autres, reconnu la responsabilité de l’armée française dans la mort d’Ali Boumendjel, avocat nationaliste algérien « torturé puis assassiné » par les militaires en pleine bataille d’Alger en 1957. D’ailleurs, son petit-fils, Mehdi Ali Boumendjel, est présent au déjeuner. Emmanuel Macron écoute ces jeunes, prend des notes sans les couper. Yohann, 35 ans, petit-fils de rapatriés juifs, propose la « coconstruction » de lieux de mémoire sur le territoire. Pour y parvenir, il demande qu’on facilite la délivrance de visas pour
que les jeunes de l’autre rive puissent venir les visiter. C’est l’actualité du moment. En effet, Paris vient de durcir drastiquement l’octroi de visas aux Algériens – mesure partagée avec les Marocains et les Tunisiens – face au refus du pays de rapatrier leurs ressortissants en situation irrégulière en France. M. Macron veut rassurer : « Il n’y aura pas d’impact sur ce qu’on évoque. On va s’attacher à ce que les étudiants et le monde économique puissent le garder. On va plutôt ennuyer les gens qui sont dans le milieu dirigeant, qui avaient l’habitude de demander des visas facilement », explique-t-il. Un moyen de pression pour dire à ces « dirigeants » que « si vous ne coopérez pas pour éloigner des gens qui sont en situation irrégulière et dangereux, on ne va pas vous faciliter la vie ». La crainte d’un « éloignement » avec l’Algérie La discussion avance. Rajaa, 20 ans, arrière-petite-fille d’indépendantiste, la tête couverte d’un voile noir, souhaite que l’Algérie, de sa colonisation à la guerre, constitue « un thème incontournable dans le cursus scolaire français ». Lucie, 27 ans, petite-fille de harki, propose au président de faire un grand discours sur la guerre d’Algérie « tourné vers l’avenir », intégrant toutes les mémoires et « pas nécessairement fondé sur des excuses »… Puis, Emmanuel Macron leur pose une question : « Il y a le 17 octobre qui arrive, qu’est-ce que vous me conseillez ? » Ce jour-là, le président devrait commémorer les 60 ans de la sanglante répression par la police parisienne d’une manifestation pacifique d’Algériens réclamant l’indépendance de leur pays. « Un discours ». « La vérité sur les chiffres. » Voire dénoncer le système politique colonial. Amine, 18 ans, de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), prend la parole : « J’ai mon grand-oncle qui a été assassiné ce jour-là. Et je porte son héritage. Il me paraît très important qu’il y ait une reconnaissance et une condamnation de ce qui a été fait. » C’est au tour du chef de l’Etat de leur répondre et de leur livrer le fond de sa pensée. Il se félicite que la France, « pays d’immigration », se soit emparée des mémoires franco-algériennes ; mais il regrette que les autorités de l’autre rive n’aient pas emprunté « ce chemin ». Il dénonce une « histoire officielle » selon lui « totalement réécrit[e] qui ne s’appuie pas sur des vérités » mais sur « un discours qui, il faut bien le dire, repose sur une haine de la France ». « La nation algérienne post-1962 s’est construite sur une rente mémorielle, assure-t-il, et qui dit : tout le problème, c’est la France. » Cette « réécriture » l’inquiète et il craint « un renfermement » de cette mémoire et « un éloignement » avec le peuple algérien. D’ailleurs, le président souhaiterait une production éditoriale portée par la France, plus offensive, en arabe et en berbère, pour contrer au Maghreb « une désinformation » et « une propagande » qui sont « plutôt portée[s] par les Turcs » et qui « réécri[vent] complètement l’histoire ». Il ajoute : « La construction de l’Algérie comme nation est un phénomène à regarder. Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? Ça, c’est la question. Il y avait de précédentes colonisations. Moi, je suis fasciné de voir la capacité qu’a la Turquie à faire totalement oublier le rôle qu’elle a joué en Algérie et la domination qu’elle a exercée. Et d’expliquer qu’on est les seuls colonisateurs, c’est génial. Les Algériens y croient. » « Le système algérien est fatigué » Autour d’un café, Nour, qui a grandi à Alger, indique au président que la jeunesse algérienne n’a pas de « haine » envers la France. Emmanuel Macron lui répond : « Je ne parle pas de la société algérienne dans ses profondeurs mais du système politico-militaire qui s’est construit sur cette rente mémorielle. On voit que le système algérien est fatigué, le Hirak l’a fragilisé. J’ai un bon dialogue avec le président Tebboune, mais je vois qu’il est pris dans un système qui est très dur. » Avant de partir, Lina, 18 ans, née à Marseille, tient à dire qu’elle se sent Française depuis
peu. Les contrôles de police, les mots de responsables politiques, la tendance, selon elle, de l’Etat et des médias à propager des discours de haine l’ont usée. A ce moment-là, le nom d’Eric Zemmour est prononcé. « Il n’est pas Algérien ? », lance en souriant Emmanuel Macron. Rire général. On fait remarquer que l’histoire familiale du polémiste s’inscrit aussi dans cette mémoire… Et s’adressant à ces jeunes, Emmanuel Macron semble vouloir reconnaître la part algérienne de la France, et la part française de l’Algérie. « Ce n’est pas une mauvaise formule », dit-il au Monde. Est-ce audible à six mois de la présidentielle ? « C’est à fond audible, insiste-t-il. C’est en ce moment qu’il faut le dire. Le pays est confronté à des pulsions contradictoires. Ces pulsions viennent de loin. Il y a une fragmentation de guerre civile ou de générosité. Il ne faut rien céder. Ce qu’on est en train de faire est un combat civilisationnel pour ce que représente la France. »
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Roland Barthes:
J'aime: la salade, la cannelle, le fromage, les piments, la pâte d'amandes, l'odeur du foin coupé, les roses, les pivoines, la lavande, le champagne, des positions légères en politique, Glenn Gould, la bière excessivement glacée, les oreillers plats, le pain grillé, les cigares de Havane, Haendel, les promenades mesurées, les poires, les pêches blanches ou de vigne, les cerises, les couleurs, les montres, les stylos, les plumes à écrire, les entremets, le sel cru, les romans réalistes, le piano, le café, Pollock, Twombly, toute la musique romantique, Sartre, Brecht, Verne, Fourier, Eisenstein, les trains, le médoc, le bouzy, avoir la monnaie, Bouvard et Pécuchet, marcher en sandales le soir sur les petites routes du Sud-Ouest, les Marx Brothers, le serrano à sept heures du matin en sortant de Salamanque, etc.
Je n'aime pas: les loulous blancs, les femmes en pantalon, les géraniums, les fraises, le clavecin, Miro, les tautologies, les dessins animés, Arthur Rubinstein, les villas, les après-midi, Satie, Vivaldi, téléphoner, les chœurs d'enfants, les concertos de Chopin, les danseries de la Renaissance, l'orgue, Marc-Antoine Charpentier, ses trompettes et ses timbales, le politico sexuel, les scènes, les initiatives, la fidélité, la spontanéité, les soirées avec des gens que je ne connais pas, etc.
J’aime, je n'aime pas: cela n'a aucune importance pour personne; cela, apparemment, n'a pas de sens. Et pourtant tout cela veut dire : mon corps n'est pas le même que le vôtre.
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Nombre: Ignacio Lacroix. Edad: 26.
Género: Hombre. Orientación: Heterosexual.
Lugar de nacimiento: Londres, Inglaterra.
Fecha de nacimiento: 18/04/1994.
Lugar de residencia: Nueva York, EE.UU.
Estado civil: Casado con Teresa Agnes.
▌│█║▌║▌║ 1994 ║▌║▌║█│▌
🔸𝑆𝑖𝑔𝑛𝑜 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑙: Aries.
𝔉𝔞𝔪𝔦𝔩𝔦𝔞:
⟶ 𝑃𝑎𝑑𝑟𝑒: Noah Lacroix (Estado: Vivo)
⟶ 𝑀𝑎𝑑𝑟𝑒: Elena Lacroix (Estado: Viva)
⟶ 𝐻𝑒𝑟𝑚𝑎𝑛𝑜𝑠:
—Georgia Lacroix (Estado: Viva | Menor)
—Alena Lacroix (Estado: Viva | Menor)
—Ela Lacroix (Estado: Viva | Menor)
𝔄𝔪𝔦𝔤𝔬𝔰 𝔶 𝔯𝔢𝔩𝔞𝔠𝔦𝔬𝔫𝔢𝔰:
⟶ 𝑃𝑎𝑟𝑒𝑗𝑎𝑠:
—Kate D'Angelo (2008 – 2011) ✞
—Teresa D. Agnes (2020 – Actualidad)
“Tʜᴇ ɴᴜᴍʙᴇʀ ᴏɴᴇ ʀᴇᴀsᴏɴ ᴘᴇᴏᴘʟᴇ ɢɪᴠᴇ ᴜᴘ sᴏ ϙᴜɪᴄᴋʟʏ ɪs ʙᴇᴄᴀᴜsᴇ ᴛʜᴇʏ ᴛᴇɴᴅ ᴛᴏ sᴇᴇ ʜᴏᴡ ғᴀʀ ᴛʜᴇʏ ʜᴀᴠᴇ ʏᴇᴛ ᴛᴏ ɢᴏ, ʀᴀᴛʜᴇʀ ᴛʜᴀɴ ʜᴏᴡ ғᴀʀ ᴛʜᴇʏ ʜᴀᴠᴇ ᴄᴏᴍᴇ.”
𝐴𝑝𝑎𝑟𝑖𝑒𝑛𝑐𝑖𝑎 𝑓𝑖́𝑠𝑖𝑐𝑎:
🔸Altura: 5' 90" Ft (180 cm)
🔸Peso: 160 Lbs (73 kg)
🔸Color ojos: Café.
🔸Forma ojos: Almendrados.
🔸Pelo: Corte de pelo más corto a los lados y dejando un jopo arriba.
🔸Color pelo: Rubio Oscuro.
🔸Cuerpo: Cuerpo de contextura mesomorfa delgado y tonificado.
🔸Color de piel: Tez blanca.
🔸Marcas: Una cicatriz en el lado izquierdo de su abdomen, una cicatriz en el ojo izquierdo casi imperceptible, y una cicatriz en la espalda.
🔸Accesorios semi/permanentes: Varios tatuajes al rededor de todo el cuerpo.
+𝐸𝑛𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒𝑑𝑎𝑑𝑒𝑠: Tiene anemia hemolítica controlada.
𝑃𝑒𝑟𝑓𝑖𝑙 𝑝𝑠𝑖𝑐𝑜𝑙𝑜́𝑔𝑖𝑐𝑜:
Para quienes no lo conocen, puede parecer un tipo serio y poco amigable, pues en las zonas que no son de su confort, suele comportarse de manera tranquila y silenciosa, procurando mantener el sentido de la audición a todo su potencial, para así leer a la gente y el ambiente que le rodea.
Una vez que le vas conociendo, suele ser un joven bastante tranquilo y amigable. Un fiel amigo y pareja. Es alguien con bastante energía y sumamente ingenioso, con quién siempre tendrás un panorama o algo que hacer, aunque cuidado muchos lo han categorizado de excéntrico por sus ideas "locas".
Empático con quiénes quiere, aunque no puede evitar ser ácido con sus comentarios cuando algo no le parece, pues tiene un criterio bastante rígido el cual se basa en su habilidad de ser culto.
Por otro lado, para quien se inmiscuye en la travesía de conocerle este puede resultar divertido, agradable y tranquilo, pues de ninguna manera se podría pensar que este fuera un hombre bastante calculador y frívolo. Cuenta con el don de expresarse adecuadamente y estructurar buenas ideas, lo cual lo ha llevado a cerrar varios tratos de negocios en corto tiempo.
Dicha capacidad verbal puede combinarse con su atractivo físico y alto nivel de conocimiento, pues el haber crecido rodeado de este último gracias a sus padres, lo hacía notar culto y este es el atractivo perfecto para atraer a quienes busca sacarle beneficio. Un manipulador innato.
La vida de Ignacio quedó marcada por una infancia bastante complicada, lo que ha llevado a este a meterse en varias acciones delictuales y al temprano consumo de las drogas y el alcohol.
Quienes ya se han ganado un espacio en la vida del caraño, logran sacar la faceta más carismático y demente del mismo. En su sentimiento de lealtad al otro, es capaz de hasta matar si lo encontrara necesario para salvar a alguien que estima.
Con sus cercanos, puedes encontrar en él, una personalidad completamente aislada a la cual ha tenido que construir para la sobrevivencia de su vida, aquella que nuestra un lado completamente empático, tierno, protector y sumamente entregado a quienes realmente son importantes para él.
A pesar de esta parte carismática de Ignacio, y detrás de su caparazón de "todo está bien", existe un ser rencoroso de las violencias de su infancia, cargado de rabia y rencor con quiénes asesinaron a su ex novia, quien jamás aprendió a controlar sus emociones haciendo que estas mismas se extrapolen. Hundido en las drogas y el alcohol, consumido en sus problemas de impulsividad e ira, y su indudable inestabilidad emocional. Obsesivo por el control y terco ante quien le lleve la contraria. Manipulador selectivo y ambicioso, lo que lo lleva a conocer gente solo para su beneficio. Obsesivo compulsivos y frustrado antes su propia tendencia a la autodestrucción.
Rasgos que más de alguna vez lo llevaron a tomar malas decisiones, incluso decisiones que aún le persiguen. Por lo cual día a día continente su lucha interna entre romper su ciclo destructivo o seguir cediendo ante los demonios de su mente, haciéndose de si mismo una gran contradicción.
𝘋𝘪𝘷𝘦𝘳𝘵𝘪𝘥𝘰 (𝘚𝘪𝘮𝘱𝘢́𝘵𝘪𝘤𝘰, 𝘱𝘢𝘺𝘢𝘴𝘰 𝘺 𝘤𝘩𝘪𝘴𝘵𝘰𝘴𝘰).
𝘈𝘯𝘵𝘢𝘨𝘰𝘯𝘪𝘴𝘮𝘰 (𝘌𝘯𝘨𝘢ñ𝘰𝘴𝘰, 𝘮𝘢𝘯𝘪𝘱𝘶𝘭𝘢𝘥𝘰𝘳, 𝘺 𝘢𝘳𝘳𝘰𝘨𝘢𝘯𝘵𝘦).
E𝘹𝘵𝘳𝘢𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪ó𝘯 (𝘈𝘵𝘳𝘢𝘤𝘵𝘪𝘷𝘰 𝘺 𝘢𝘴𝘦𝘳𝘵𝘪𝘷𝘰).
A𝘭𝘵𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘤𝘪𝘦𝘯𝘤𝘪𝘢 (𝘏á𝘣𝘪𝘭, 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦, 𝘳𝘦𝘧𝘭𝘦𝘹𝘪𝘷𝘰, 𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘻𝘢𝘥𝘰 𝘺 𝘥𝘪𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘵𝘦).
Esta personalidad tan característica lo llevan a ser alguien que genera amor y odio a la vez, ya que puede ser muy querido, pero su naturaleza auto-destructiva hace que finalmente comience a desagradarles a las personas a lo largo del tiempo.
𝑨𝒇𝒊𝒄𝒊𝒐𝒏𝒆𝒔:
• Todo lo relacionado a la cocina, la cafetería y los tragos. Le encanta cocinar y es un buen barman y barista.
• • Las conversaciones extensas y de contenido; como cultura, sociedad y política.
• La música, tanto escucharla como hacerla.
• • Los animales, como su gato y perro.
• Las drogas.
• • La adrenalina.
𝑻𝒂𝒍𝒆𝒏𝒕𝒐𝒔:
✓ La música.
✓ Los negocios.
✓ La cocina y la coctelería.
𝑫𝒆𝒃𝒊𝒍𝒊𝒅𝒂𝒅𝒆𝒔:
× Su problema de control de emociones.
× Sus amistades.
× Su terquedad.
𝑭𝒐𝒃𝒊𝒂𝒔/𝑴𝒊𝒆𝒅𝒐:
•Tripofobia.
𝑪𝒖𝒓𝒊𝒐𝒔𝒊𝒅𝒂𝒅𝒆𝒔:
• No tiene olfato.
“𝑇𝒉𝑒 𝑐𝒉𝑖𝑙𝑑 𝑤𝒉𝑜 𝑖𝑠 𝑛𝑜𝑡 𝑒𝑚𝑏𝑟𝑎𝑐𝑒𝑑 𝑏𝑦 𝑡𝒉𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑤𝑖𝑙𝑙 𝑏𝑢𝑟𝑛 𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑤𝑛 𝑡𝑜 𝑓𝑒𝑒𝑙 𝑖𝑡𝑠 𝑤𝑎𝑟𝑚𝑡𝒉.”
Nacido y crecido en Londres, Inglaterra, el mayor de los hijos del matrimonio de dos masones de alto rango y politicos altamente reconocidos, lo que lo llevó vivir experiencias traumáticas desde muy pequeño al presenciar diversas acciones desde la organización de sus padres, como estafas, corrupciones y asesinatos, lo que dejó marcado de por vida a Ignacio.
A su corta edad de 5 años y marcada por varios errores de sus padres, es que estos deciden dejar atrás su vida en Inglaterra, arrancando a una nueva vida a Nueva York, borrando todo el pasado de sus padres y haciendo que estos comiencen una vida política empresarial en aquel nuevo país.
Ante la indiferencia de sus padres por un responsable cuidado por prestarle más atención a sus negocios, en cuanto él fue llegando a la adolescencia comenzaron a demostrar los frutos de una infancia violenta a través de peleas a golpes con sus compañeros de curso, escaparse de casa múltiples veces e incluso teniendo varios problemas con la policía. A su corta edad de 12 años Ignacio conoció a una joven muchacha de la cual quedó obsesionado, y desde ahí comienzan una larga historia de acciones delictuales por parte de ambos, dónde ella le muestra la otra cara de la vida, haciendo que este coicidiera con aquella vida que traía narcotráfico y manejo de armas, haciendo que este comenzará a mirar el mundo de otra forma adentrándose a una vida la cual había querido ignorar.
Fue entonces cuando ya teniendo los 14, Ignacio y su novia, escapan de casa sin antes robarle cada uno a sus padres lo necesario para irse y no volver más. Es cuando se mudan a Nueva Orleans en busca de la famosa vida de la bohemia, las drogas y el alcohol. Hasta que a sus 16 años, entre viajes y locuras que compartían, una noche de fiesta, junto a su novia y su mejor amigo, en casa que compartía con su novia, irrumpieron violentamente unos asesinos a sueldo enemigos de su padre con la única intención de matarlo, en donde en un enredo de en balas, termina con su mejor amigo y novia muertos. Con la rabia y tristeza, el rubio logra escapar y así comunicarse con su padre para comunicarle la notica, quien le ofrece a Ignacio volver a casa y buscar venganza, a lo cual el acepta sin dudar.
Teniendo su vida en juego y habiendo perdido a sus personas más importantes, arranca nuevamente a Nueva York en donde, hundido en su depresión fue dónde descubre su pasión por la música ante su depresión por la perdida de su novia. Con tan solo 17 años, lanza su primer disco el cual lo lleva a tocar en diversos bares de la ciudad, conociendo poco a poco el mundo de la música mezclada y los Djs.
Al cumplir los 18, su padre buscando la manera de ir reparando su fallida relación familiar, lo induce en el negocio familiar empresarial, regalandole así un bar el cual Ignacio podría administrar completamente. Así poco a poco fue reencontrándose con aquellas heridas familiares que su infancia le habían dejado, haciendo de su vida una constante lucha contra el rencor hacia sus padres paralelo al duelo de la perdida de sus dos seres más queridos. Fue cuando a sus 20 años, decide meterse a la universidad a estudiar leyes, para así entender un poco más el mundo de sus padres.
Así fue como poco a poco se fue induciendo en el mundo político, dónde poco a poco fue formando su carrera empresarial-politica, lo que lo llevó a que por cosas del destino lograra encontrar a quienes habían asesinado a su mejor amigo y su novia. ¿Será este el inicio de su venganza?
ᎪႮᎠᎬΝͲᏆՏ ҒϴᎡͲႮΝᎪ ᏆႮᏙᎪͲ
𝑼𝒏𝒂 𝒇𝒂𝒎𝒊𝒍𝒊𝒂 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒂𝒅𝒂 𝒑𝒐𝒓 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒐𝒍𝒆𝒏𝒄𝒊𝒂, 𝒆𝒔𝒕𝒂𝒇𝒂𝒔 𝒚 𝒎𝒂𝒏𝒊𝒑𝒖𝒍𝒂𝒄𝒊𝒐𝒏𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒎𝒂𝒔𝒂𝒔.
𝑼𝒏𝒂 𝒗𝒊𝒅𝒂 𝒍𝒍𝒆𝒏𝒂 𝒅𝒆 𝒗𝒊𝒐𝒍𝒆𝒏𝒄𝒊𝒂, 𝒆𝒙𝒄𝒆𝒔𝒐𝒔, 𝒅𝒓𝒐𝒈𝒂𝒔 𝒚 𝒂𝒍𝒄𝒐𝒉𝒐𝒍.
𝑼𝒏 𝒄𝒉𝒊𝒄𝒐 𝒄𝒐𝒏 𝒕𝒆𝒏𝒅𝒆𝒏𝒄𝒊𝒂𝒔 𝒂𝒖𝒕𝒐𝒅𝒆𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒗𝒂𝒔.
𝑼𝒏 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒂𝒓𝒐.
𝑫𝒐𝒔 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒂𝒔 𝒎𝒖𝒆𝒓𝒕𝒂𝒔.
𝑼𝒏 𝒄𝒉𝒂𝒓𝒄𝒐 𝒅𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈𝒓𝒆.
𝑼𝒏𝒂 𝒗𝒆𝒏𝒈𝒂𝒏𝒛𝒂.
¿𝘠 𝘵ú? ¿𝘌𝘴𝘵𝘢𝘳í𝘢𝘴 𝘥𝘪𝘴𝘱𝘶𝘦𝘴𝘵𝘰/𝘢 𝘢 𝘵𝘦𝘯𝘦𝘳 𝘦𝘴𝘵𝘢 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘢 𝘦𝘯 𝘵𝘶 𝘷𝘪𝘥𝘢?
Rol en 3ra persona.
Extensión de medio a largo.
Relatos en primera y tercera persona.
Lo AU/Universos Alternativos están permitidos, y cualquier otra idea de trama es bienvenida.
Antes de rol o trama, prefiero la organización y planificación de la misma previamente por privado.
Se prefiere el rol por mensaje, pero el rol por muro es bienvenido con organización previa.
Se permite el drama sólo de manera onrol.
No tengo problema con el compartir de usuario a usuario mientras se comprendan los límites de tal y no se mezclen con los personajes o la trama de estos mismos.
Uso dos F.C pero esto no afecta en la dinámica ni apariencia del personaje ya que son similares.
No se aceptan dramas off rol.
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YVY de Alma campesina Ojos Viajeros
Nací de madre Sullanera y Padre Talareño de abuelos campesinos recorriendo los campos, disfrutando el mar, el eterno sol en una familia de 4 hermanos hechos a pulso con los valores de Miguel Graú: integridad, honor, caballerosidad y amor a la patria.
De niña recuerdo las filas para conseguir agua en valdes con mis hermanos, esto ha marcado toda mi vida. Todavía me pregunto, con todo el aporte que hace la refineria de Talara al Perú:
¿En el 2021 todavía no tenemos agua ni gas permanente a domicilio?.
Estudie en el Jardin y el Colegio en Talara, viajé a Piura graduandome de Periodista y gracias a mis trabajos como reportera y docente he podido conocer la profundidad de los problemas sociales y oportunidades en la educación. He invertido mis recursos en mi preparación y en mi hija, se graduó en 1er puesto en Ingeniería Ambiental. Estuvo becada en la UNAM en México.
- Periodista Universidad de Piura-UDEP
- Magíster Administración Negocios y Relaciones Internacionales Universidad César Vallejo.
- Maestría Gerencia Social. PUCP
- Estudios Doctorado Ciencias Administrativas línea de investigación Responsabilidad Social Empresarial UNMSM
- Diplomado Gestión Comunicación para el Desarrollo y Responsabilidad Social. Universidad de Piura. UDEP
- Diplomado en Dirección Estratégica y Gerencia de Recursos Humanos. UMSM
- Diplomado Gestión Municipal. ESAN.
Al despertar una soleada mañana recibí la llamada de un amigo de toda la vida, que el COVID-19 se llevó como a muchos de mis leales amigos, con una retadora propuesta e insistia en que era el momento de aportar mi experiencia y conocimiento a Talara desde el Congreso. Ese día, esa llamada fue mi despertar politico mientras tomaba el desayuno en mi entorno familiar: café piurano, jugo de mango, sanduche de palta. Discutimos y analizamos en familia quien hacia este coqueteo politico, entramos a revisar los principios y valores y encontramos coicidencias con el Partido Morado, un partido republicano.
Aspectos urgentes para nuestra sociedad integrada de ciudadanos libres, conscientes de sus deberes y derechos, solidaria, con un sentido de pertenencia e identidad nacional, y capaz de realizarse plenamente. El Partido Morado se orienta a cuatro principios indesligables, cada uno de las cuales dan origen a líneas y acciones estratégicas.
El ideal republicano preciso para lograr un balance entre la libertad personal y los emprendimientos conjuntos, armonizar la iniciativa individual y la acción colectiva con la aceptación de las limitaciones que impone el entorno biofísico, e incorporar la aspiración humana de superación personal en las dimensiones individual, social y ambiental.
Al finalizar el mes mi familia me dió la bendición en este inmenso reto y ofreciendome todo el apoyo en este reto que implica lealtad moral y de bienestar para mi Región Piura.
Este - Proyecto Talara - en el que rápidamente amigos, propios y extraños se han ido sumando a este inmeso equipo que hemos denominado Eje de Desarrollo de la Región Piura. DECLARACIÓN AL SER CONGRESISTA:
1. Representaré la región respetando el voto otorgado en las urnas por los ciudadanos, por lo tanto, mi principal preocupación y deber ser será la defensa de los intereses de la Región Piura, que tiene cerca de 2 millones de habitantes. 2. Legislaré leyes en beneficio de Talara, de la Región Piura y del país. También las resoluciones legislativas o normas. Asimismo reformas la Constitución que es fundamental para la organización del Estado, en beneficio de la sociedad Peruana.
3. Fiscalizaré y realizaré Control Político a la administración pública y en el gobierno, delegar facultades legislativas al Poder Ejecutivo, y revisar los decretos de urgencia y la disposición de bienes y recursos públicos. Supervisaré la conducta de todos los funcionarios del Estado en la labor encomendada. De detectarse o existiera indicios de irregularidades o de malos manejos, cualquier congresista o comisión formada en el Congreso de inmediato solicitaré a la entidad pertinente los informes del caso. Optaré por suspender, destituir o inhabilitar del cargo al funcionario acusado ante las evidencias de delito. Si el dictamen tuviera una resolución de contenido penal, el Congreso solicitaré al Fiscal de la Nación formule denuncia ante la Corte Suprema.
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muitas dúvidas quanto a esse lugar onde vocês estão, mais quem eu sou para julgar algo ou alguém.
- O lugar não é dos melhores, mais é um trabalho, ele agora mesmo subiu para ser gerente de notas do clube.
- Bom, o que a moça, a dona achará quando souber que ele é o seu filho?
- Não sei, mais eu vou contar.
- Conte mesmo, é melhor que ela saiba e assim pare de achar asneiras sobre meu neto.
- Como assim?
- Eu sei que ela acha que meu neto vai acabar por soltar algo aos policiais, faça ela entender, ele não é inimigo e nem tampouco ingrato a ninguém.
- O que sabe?
- Muito e quase nada, eles que me sopram, só isso.
- O que vai acontecer?
- Quer mesmo saber?
Jarbas se levanta e segue para o portão.
- Não vai esperar que o seu filho acorde?
- Falo com ele no clube.
- Só saiba, ele vai gostar e odiar, mais depois ficará do seu lado.
- Preciso beber urgentemente.
- Sei, eu também.
- Quer vir?
- Hoje não, teremos tempo para isso mais a frente.
- Você que sabe, tchau.
- Tchau.
Jarbas passa pelo portão e Lourival olhando ele seguir rua acima no carro.
- Pois é seu Jarbas, a vida te deu uma segunda chance, agora resta saber o que fará com esta.
Jarbas segue pelo bairro até parar num boteco, ali pede uma cerveja e pinga com vermouth, sentado á mesa ele lembra seus tempos de namoro e seus olhos enchem de água.
Lourival termina de lavar a louça do café, Arlete surge na porta da cozinha.
- Era ele, não era?
- Sim.
- Por que não ficou, preciso falar com ele.
- Ele teve de ir.
- Para onde?
- Refrescar a mente, tentar organizar os prumos do pensamento.
- Eu vou atrás dele.
- Sei que vai.
- Não vai me impedir?
- Não.
Arlete sai para o quarto e logo retorna em vestido de estampa, uma bolsa e sai.
- Vai com Deus.
- Eu sempre estou com ele e ele comigo.
Logo ela sobe a rua, Lourival enxuga o rosto na toalha deixada na janela.
- Agora sim, começou o verdadeiro acerto de contas com o destino.
Glads levanta e de shorts vai até Lourival.
- É a mãe, onde ela foi?
- Resolver algo da vida dela.
- O quê?
- Tudo a seu tempo, rapaz.
- O que foi vô?
- Só se prepare, muita coisa vai mudar.
- Como assim?
- O que era louco vai ficar quase normal.
- Do que esta falando?
- Coisas de velho, não precisa ligar.
Glads segue para a cozinha e retorna com um copo de café e pão.
- E então, o que vamos ter de almoço?
- Não sei, você que vai fazer a bóia hoje.
- O quê?
- Isso mesmo, você acabou de ser sorteado. Risos.
No hospital Marcelo mais outros médicos tentam de tudo, Hércules falecera, Simone recebe a noticia pelo médico, Marcelo ao longe vê a mulher se desmanchar em lágrimas.
- Simone.
- Por que, por que me diz, era para ser o dia mais feliz e agora?
Marcelo a abraça, Edú e Dani chegam ali, foram resolver os documentos e liberação do corpo, ao ver a irmã abraçada a Marcelo, Edú não gosta mais Dani lhe faz sinal, ele entende ali.
O enterro é repleto de figurões e politicos, alguns repórteres e a ex mulher com os filhos, Simone respeitara o momento da outra se mantendo a distância quando esta fora se despedir junto dos filhos ao caixão do ex, Dani ficara o tempo todo ao lado de Simone, Marcelo fora mais não pudera ficar por muito tempo, tinha plantão que cumprir no hospital.
10122020……………...
20
Simone ali desolada, ao canto da sal de seu novo apartamento, Marcelo se aproxima dela.
- Acho melhor eu ir.
- Fique, por favor.
Edú e Dani foram trocar de roupas fazer higiene, irão voltar e ficar com Simone que decidira por não ir com eles para a mansão do casal.
- Seu irmão logo vai voltar e eu.............
- Por favor, fique.
Simone o abraça e lágrimas descem com maior frequência, ali Marcelo sente o perfume de sua amada, dos seus cabelos, ele tonteia em pensamentos, sua única vontade é ama-la ali mesmo.
- Eu...................
- Por favor.
Marcelo atende e em silêncio continua a abraça-la.
Leticia se arruma e logo Jarbas vem a ela.
- Ele esta lá embaixo, senhora.
- Obrigado Jarbas, por favor procure saber o que houve com o traste do Gil.
- Por que?
- Temos que mostrar compaixão, se ele for enterrado de forma mais justa, teremos de comparecer, só isso, mais acho que uma boa cova rasa é de bom gosto e merecimento a um traidor do tipo dele.
- Sim, senhorita.
- E então?
- O quê, senhora?
- Como foi com o seu pupilo?
- Não entendo senhora.
- Depois falaremos dele, por que sinto que quer me esconder algo sobre esse seu rapaz, olhe Jarbas sou profundamente agradecida por você estar todos esses anos a meu lado, mais nem isso te faz insubistituível, acredite claramente nisso.
- Sei disso, senhora.
- Veja, comprei essa correntinha em um brechó lá na Itália, daquela vez, falei ao bobo que foi herança de meus avós, ele acreditou, que tonto hein, vai me ajude a coloca-la.
- Sim.
Leticia desce e Allan ali no sofá da sala folheia um jornal.
- Demorei?
- Só um pouco.
- Nossa, onde ficou o romantismo de antes?
- Precisamos conversar e muito.
- Parece que hoje, todos tem algo a falar comigo.
- Por que, mais alguém quer ter particulares contigo?
- Não, nada disso, só assuntos de negócios, onde vamos?
- A um restaurante de amigos, quero apresenta-los a você.
- Nossa amor, adoro, você sabe disso.
- Temos muito o que falar.
- Sei disso, por isso mesmo estou contrabalanceando o que vem por ai.
- Vamos?
- Sim, meu amor.
Allan a beija e seguem para o auto dele saindo, Jarbas olha o casal se distanciando pela janela da mansão.
No restaurante após as devidas apresentações, Leticia e Allan são direcionados a uma mesa na área externa sob uma parreira de primaveras e outras flores.
- Nossa que lindo, amor.
- Por que não me disse sobre seu clube?
- Me desculpe, acho que se falasse iria me abandonar.
- Por que, por que vejo nos jornais e noticiários sobre você na cadeia e outras coisas?
- Olhe, tudo bem, não fique nervoso, sei que não fui tão sincera quanto a tudo sobre mim, mais você nunca me perguntou de forma assim, como agora, claramente e objetivamente.
- Sei.
- Como disse, não sou nenhuma criminosa, sou uma mulher que teve desde cedo batalhar e manter o pouco que tinha em mãos, herdei algum dinheiro de meus pais que faleceram há anos, a única pessoa que ficou comigo a me cuidar e resolver quase tudo por mim foi o Jarbas, ele sim, sabe de tudo ou quase tudo sobre mim, ele conheceu meus pais e outros familiares.
- Você nunca falou de seus outros familiares.
- Fui criada em colégios internos, sabe, tinha facilidade em fugir deles, sou tipo uma interna da FEBEM.
- Nossa, não imaginava isso vindo de você.
- Pois é, nem sempre somos o que aparentamos.
- Verdade.
- Tenho tios e outros, mais não sou tão próxima a eles e nem pretendo ser, eles não são tão bons assim, só nos mantemos em negócios que temos sociedades, mais nada tão caloroso quanto a sua família.
- Nossa, por que não me disse isso antes?
- Para quê, para me deixar quanto aos outros.
- Você sofreu muito amor, me perdoe.
- Sim, mais isso também me fez forte, com a ajuda de Jarbas eu consegui passar por tudo, ele me auxilia bastante, consegui terminar meus estudos e ja estou em minha segunda facul, nunca deixando os negócios afinal são a base para o meu financeiro.
- Você é ótima.
- Obrigada, mais e os seus pais?
- Depois do ocorrido com minha tia, eles estão quase o tempo todo com ela.
- Me perdoe não ter ido com você, agora sabe um pouco mais sobre mim e que também estava nos braços da lei. Risos.
- Eu entendo amor, entendo tudo, me perdoe.
- Eu é que fui um tanto solta, devia ter te contado mais sobre mim, sabe, não tenho muito o costume de falar sobre minha vida, meu avô me ensinou muito quando estava comigo, e dentre seus ensinos ele me disse que certas fraquezas devem ficar sempre em um quarto bem trancadas.
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@mysteriousabyss
“Obrigado pela permissão.” Brincou ao puxar a xícara para si, soprando antes de tomar o primeiro gole de café. “Vou cozinhar se precisar envenenar alguém.” Disse a verdade em tom divertido. Só assim para ele se enfiar em uma cozinha, muito difícil mesmo. “Aqui costuma dar muita gente?” Pois no momento não tem mais ninguém e agradece mentalmente. “É tão calmo, ótimo para pensar.”
— Disponha. — Claro que Akira não ia deixar de dizer isso. — Certo, preciso me lembrar que você não pode me convencer de deixar você chegar perto da cozinha. — Um demônio desses não pode profanar um lugar sagrado. — Mais ou menos, não é a Starbucks, é um lugar que você acha sem querer e que voltar porque é agradável. O Sojiro prepara café como ninguém, ele é muito rigoroso até com os grãos. Ele abriu minha mente com esse tipo de coisa. — Akira suspirou. — Eu te entendo, eu também acho isso. Aos poucos esse lugar tirou muito dos meus pensamentos ruins quando eu cheguei. Me deu esperança para alguma mudança, só que aí...Eu fui um pouco desanimado de novo. — Akira apontou levemente com o dedo indicador para a tv que ainda passava sobre um politico. — Sou daqueles que esquenta um pouco a cabeça por conta do futuro da nação. — E se preocupa mais ainda depois de visitar os Mementos. — Na verdade, eu não consigo ignorar os problemas das pessoas.
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(I wrote this email to my grandmother, aunt, and uncle last week and felt pretty good with how it turned out so decided to publish it here.)
Friday, May 1st, 2020
Coucou !
I’ve been wanting to write you for a while now, I even started a draft and wrote about ¾’s of it, had to stop to make dinner, and then never finished it. Maybe I was overthinking how I wanted to get the writing perfect when I should’ve just sent something to say hello, give you an update, and check-in that all was well with you. Mieux vaut tard que jamais.
How to describe everything and nothing that has happened since mid-March? Both on a personal level and on a “what’s the situation in France” level?
Personally, I’ve been cooking, both familiar recipes, and trying new ones such as Chickpea Curry, Mushroom-Stuffed Eggplant, One-Pan Wine Braised Chicken with Artichoke Hearts, Shakshuka, Spanish Tortilla, Roasted Red Pepper Cheese Toast, Peanut Butter Chile Sauce drizzled over broccoli and rice, Butternut Squash & Shallot Hash w/Poached Eggs, and a couple others. Let me admit, some were successes, others...will have to be adjusted and reattempted. Not to mention there are days when not having a dishwasher gets to be exhausting.
I still have multiple school projects that I have been working on, both group and individual. My classes were already supposed to end mid-April even before this all started, so it didn’t change much and most classes didn’t have any online classes, as the projects were more important and already put in place. I have three more to turn in before grades are due mid-May, and now the first part of my thesis is due one month later, at the end of June. Productivity has been difficult, as there are days that I feel like I need to do things for me, rather than sitting on my computer switching between reading the news and trying to do school work, but I’ve gotten a little better at it. My job, checking guests into apartments, and working in the office, is obviously non-existent, and likely will be until at least September, but because of the government's chômage partiel or temporary/partial unemployment of over 10 million people in France, I’m still getting 90% of my salary, which I am very thankful for.
What I have been doing for pleasure these days is listening to podcasts, my favorite being Spilled Milk, which I discovered in September when I was doing the grape harvest, a comedy show about food recorded in Seattle. I was taking a photograph or two a day with my dad’s 1984 Minolta 35mm film camera but ran out of film and can’t find a viable way to get more. I’ve been reading every day, finished two books so far, and have started a third. We’ve been watching movies and TV shows, such as Breaking Bad, the Jason Bourne trilogies, Charade, Star Wars, and others I’ve put off watching until now. Something I never thought I would do was a virtual dance/fitness classes but they have been a great source of dopamine and just physical movement. There are also weekly video chats with either Benjamin or I’s friends, which has been especially nice when we can reunite multiple time zones all in one call. My friend that works at Politico’s audio department asked if I’d be interested in recording an audio-diary twice a week as part of a project they’re working on of different people’s experiences during lockdown so I’ve been contributing to that (though not sure what’s become of the project so far). The most coincidental thing that has happened to me during confinement is changing the channel on the TV maybe the second week into the lockdown, as the Prime Minister’s press conference was ending (otherwise we hardly ever watch the TV), to a different channel only to see someone that looked vaguely familiar, and then see the street we live on. We soon figured out the people across the street we had seen filming once or twice were making a documentary on the lockdown. I contacted them after we finished watching the episode and they asked if I was interested in being interviewed. So that happened, haha. I don’t believe it’s possible to stream the episode outside of Europe so I’ve included the video here, it’s in English.
There are of course the daily musings outside the window to see what the neighbors across the street are doing or what is happening on the street below. Avenue de Saint-Ouen has calmed since this all began but it still is busier than I would’ve expected, both with cars and people, not resembling photos you may have seen of an eerily empty Paris. Sundays are the exception, when I can almost clearly hear what someone is saying on their balcony across the way, where the joggers' loud steps hitting the pavement echoes as they try to reach home before their 10am curfew, and the church bells ring telling us the time. The typical characters I can see on their balconies every day include the bald man that drinks his cup of coffee while smoking his morning cigarette, the retired man on the top floor that tends to his potted herbs that dangle over the balcony railing, or his neighbors that have two young boys that run back and forth. The weather has been clearer than any Parisian spring I’ve seen and the temperatures even got to the high 70’s last week but have now dropped and the clouds are back. We are allowed to walk for up to one hour within a 1km radius of our address, as long as we have a form, now available to download on our phones, filled out, otherwise there can be fines, though I have only seen police officers stop people twice.
So what is the situation in France right now? As of Thursday night, 24,376 people have died from Covid-19 in France, 26,283 people are currently hospitalized (551 less than the day before) and 4,019 are in the ICU (188 less than the day before). On May 11th, the lockdown will be lifted to a certain extent, but many restrictions will still be in place. Starting May 7th each département, kind of like a county, will either be classified red or green, depending on multiple factors, and this can change the severity of the rules after May 11th. Preschools, elementary schools, and daycares can reopen, on a voluntary basis by each family, so those in need that cannot do online learning and depend on the meals can return to school under certain hygiene measures. Public transportation will increase slightly but not back to the normal frequency, masks will be obligatory, every other seat must be left empty, employeurs are encouraged the adjust hours of employees that have to return to work to avoid rush hour, and that those not commuting to and from work should avoid public transportation during these hours. We will be able to leave the house without filling out a form, as long as it’s less than 100km from our address. Farther than this (62 miles) we will need to have a legitimate reason, such as professional or imperative family needs. No meetings, private or public, of more than ten people. Individual sports any time of day (currently in Paris jogging isn’t permitted between 10am and 7pm) but no team sports. Libraries and small museums may reopen while abiding by hygiene procedures. Parks may reopen but if considered dangerous, such as in Paris, they may remain closed. Most businesses can reopen, except restaurants, bars, cafés, large museums, movie theaters, concert venues, or theaters, while controlling the number of people in the business and customers may be turned away if they aren’t wearing a mask. Farmers markets may reopen as well. Malls may or may not reopen, depending on their size. Working from home is still strongly encouraged. The government hopes to test 700,000 people a week, though who can get tested isn’t clear. If you test positive you must self isolate for 14 days either at your residence or an allocated hotel, and teams of people will attempt to get in contact with those who may have been infected by said persons to get tested. An app is also in development to track this but is also highly controversial and will have to be voted on by parliament. Masks will be distributed by employeurs, by schools, to nonprofits for those in need, social action centers, and La Poste has set up a website where they can be bought, the government paying for part of the costs. The second phase in which things could change is June 2nd.
Voilà, I think that’s everything. I would love to hear from you when you can write back. Miss you and thinking of you.
Love,
Melissa
P.S. Some recent Articles/Blogs/Newsletters/Podcasts that are Paris related:
David Lebovitz's May 2020 Newsletter
When Cookies Fly and Other Tales of Staying Entertained During Quarantine
Lettre Recommandé: Notes from France by Lauren Collins
Podcast: Documenting confinement in Paris, checking in with the French psyche, May Day history (interview with the couple making the documentary that I was featured in briefly among other interesting things.)
The New Paris Podcast: Paris in Confinement
The Earful Tower Podcast: What does Paris look like in lockdown? (he has recorded several episodes about what has been going on, this is just a more recent one, light-hearted)
The Street That Still Offers Paris Hope
Denuded of Tourists, Paris Reveals Its Old Beating Heart
France 24's English Coverage of the France Lockdown (a great news outlet in English with a more French perspective of whats going on in France with articles and videos)
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